Les statuts encore actuellement d'application datent certes des années trente; la scission du groupe en 3 sociétés distinctes (Holding, infrabel et SNCB) est le prétexte tout trouvé par la direction pour y apporter les modifications, soi-disant nécessaires, afin d'adapter son contenu au contexte actuel.
La déontologie ne permet pas de dévoiler son contenu ouvertement, puisque non encore définitif; mais il faut savoir que sous couvert d'adaptation, le cheminot va "encore" perdre de ses acquis sociaux, tout en donnant plus de possibilités à l'employeur de gérer le personnel de manière plus arbitraire; donc de plus en plus à la manière d'une entreprise privée; certains points du projet de statut ont généré l'écourement total de bon nombre de militants syndicaux. Les changement ne sont pas nombreux, mais laissent entrevoir vers quoi le cheminot se dirige.
lundi, décembre 11, 2006
dimanche, novembre 26, 2006
Insécurité au travail: ras le bol des cheminots.
Après l'insécurité des voyageurs et l'insécurité du personnel (chef-garde –accompagnateurs- et Sous-chefs de gare), voici l'insécurité dans l'exécution du travail de cheminot.
En effet, dans ma zone de travail, d'importants travaux concernant la centralisation des cabines de signalisation tout relais vers des postes EBP (Signalisation par ordinateur) sont en cours.
Ces travaux qui s'étaleront sur plusieurs années et qui demandent plus de personnel pour travailler en sécurité (Sous-chefs de gare et Gardiens de passage à niveau).
Or la direction et leurs chefs exécutant, sous prétexte d'un manque de Gardiens de Passage à Niveau (agents de la voie), obligent le personnel de cabine par des notes non réglementaires à entraver la sécurité du travail en dérogeant au RGS (Règlement Général de Signalisation) et au RGUIF (Règlement Général de l'Utilisation
de l’Infrastructure Ferroviaire).
Ces règlements font force de loi en cas d'incidents ou d'accidents et ont été publiés pour certains au Moniteur Belge;
Je ne suis pas juriste, mais lorsque l'on modifie une loi, la modification doit aussi paraître au Moniteur. A la SNCB, on semble ignorer la loi.
En cas d'accidents, qui sera responsable et quelles seront les conclusions des inspecteurs du travail? Le personnel craint de se retrouver au tribunal pour non respect de la réglementation.
Une intervention de la CGSP est en cours auprès du CPPT National (comité pour la prévention et la protection du travail).
Encore une fois la direction, pour économiser quelques prestations et par sa politique de non recrutement oblige son personnel a travailler dans des conditions de STRESS injustifiées.
Retards des trains
Quelque 53 pc des navetteurs arrivent en retard à leur destination aux heures de pointe, alors que dans l'ensemble, 41 pc des usagers du train arrivent en retard, selon une étude de ponctualité menée par l'association flamande des usagers des Trains-Trams-Bus (BTTB). L'enquête n'a pas mesuré les retards des trains par rapport à leur heure d'arrivée au terminus, mais bien les retards par rapport à la destination des usagers.
Le BTTB avait demandé aux navetteurs de vérifier la ponctualité de leurs déplacements entre le 18 septembre et le 31 octobre. Les résultats s'appuient sur 6.000 déplacements. Le retard moyen est de 5,7 minutes. Aux heures de pointe le matin, il monte à 6,7 minutes. Le BTTB a compté qu'un train était en retard lorsqu'il avait plus de 5 minutes de retard.
Si un peu plus de 40 pc des participants à l'enquête arrivent en retard à leur destination, le chiffre monte jusqu'à 53 pc aux heures de pointe matinales. "En ce qui concerne les trains en direction de Bruxelles le matin, ils sont même 55 pc à accuser un retard de plus de 5 minutes", explique Jan Vanseveren, du BTTB.
28 pc des navetteurs environ changent au moins une fois de train. 13 pc de ceux-ci ratent un ou plusieurs trains. A Anvers, ce pourcentage monte même à 19 pc. Le BTTB demande que l'on attende un petit peu plus les trains en correspondance qui ont du retard. Il demande aussi qu'un plan de secours et des informations sur les routes alternatives soient mis en place lors d'incidents, comme cela se fait depuis longtemps aux Pays-Bas.
Le BTTB reste quand même positif: "5,7 minutes de retard, c'est raisonnable. Ca ne paraît pas énorme, mais cela touche tout de même beaucoup de personnes", déclare encore Jan Vanseveren.dimanche, novembre 19, 2006
Over draadloos internet en een lange onderbroek
Gelezen in de krant deze week:
Wanneer zal de treinbestuurder eens beschikken over deftige communicatieapparatuur?
De huidige radio grond-treinverbinding werkt meer niet dan wel. Maar gelukkig hebben we de GSM toch? Ja, en op redelijk wat plaatsen langs het spoor met een slechte ontvangst.
De NMBS heeft wel geld om te investeren in draadloos internet voor de reiziger, maar voor wanneer gaat men eens investeren in nieuwe locomotieven? Of moeten we blijven rijden in de goederen met oude locomotieven genre Type 23 die ondertussen al meer dan vijftig jaar oud zijn, waar je amper kan in zitten, waar het in de winter ijskoud is, waar het langs alle kanten binnen waait, waar het zelfs binnen regent,...
Voor wanneer eens investeren in airco's in de locomotieven en stuurcabines?
Voor wanneer gaat men eens investeren in een veilig syteem ipv te werken met krokodillen en de fluit?
Wanneer gaat men iets doen aan het feit dat men zelfs geen personeel voorziet om regelmatig de kopruiten van de locomotieven of de motorstellen te reinigen?
Of ziet de toekomst er zo uit?
De reiziger in een comfortabele zetel, met airco, draadloos internet en de treinbestuurder... op een sjofel stoeltje, met een paraplu boven zijn hoofd tegen de regen, met een dikke winterjas, een lange onderbroek, een spons om van tijd tot tijd de kopruiten te reinigen, een stok om zijn ruitenwissers in gang te steken die blijven steken, en een dikke thermos hete koffie?
Niet dat ik de reiziger niks gun hé!
Maar waar zijn de prioriteiten mijnheer Haek?
- "Treinreizigers hebben heel wat tijd tijdens hun treinrit", zegt Piet Demeester van de universiteit van Gent, "en een van de geliefkoosde bezigheden is zich dan op het internet begeven." Momenteel beperkt het internetgebruik zich in de treinen in vele gevallen, door technische beperkingen (te lage bandbreedte), tot het bekijken van e-mails. Binnenkort hoopt men van de treinstellen een soort virtuele kantoren te maken. Experimenten met wifi worden al volop gedaan. In elke wagon hoopt men op termijn een wifi-ontvanger te plaatsen die dan via één connectiebeheerder per trein met een satelliet in verbinding staat om zo meer bandbreedte te verzekeren. En zeker ook om in tunnels de internettoegang te verzekeren wordt nog volop onderzoek gedaan.
Wanneer zal de treinbestuurder eens beschikken over deftige communicatieapparatuur?
De huidige radio grond-treinverbinding werkt meer niet dan wel. Maar gelukkig hebben we de GSM toch? Ja, en op redelijk wat plaatsen langs het spoor met een slechte ontvangst.
De NMBS heeft wel geld om te investeren in draadloos internet voor de reiziger, maar voor wanneer gaat men eens investeren in nieuwe locomotieven? Of moeten we blijven rijden in de goederen met oude locomotieven genre Type 23 die ondertussen al meer dan vijftig jaar oud zijn, waar je amper kan in zitten, waar het in de winter ijskoud is, waar het langs alle kanten binnen waait, waar het zelfs binnen regent,...
Voor wanneer eens investeren in airco's in de locomotieven en stuurcabines?
Voor wanneer gaat men eens investeren in een veilig syteem ipv te werken met krokodillen en de fluit?
Wanneer gaat men iets doen aan het feit dat men zelfs geen personeel voorziet om regelmatig de kopruiten van de locomotieven of de motorstellen te reinigen?
Of ziet de toekomst er zo uit?
De reiziger in een comfortabele zetel, met airco, draadloos internet en de treinbestuurder... op een sjofel stoeltje, met een paraplu boven zijn hoofd tegen de regen, met een dikke winterjas, een lange onderbroek, een spons om van tijd tot tijd de kopruiten te reinigen, een stok om zijn ruitenwissers in gang te steken die blijven steken, en een dikke thermos hete koffie?
Niet dat ik de reiziger niks gun hé!
Maar waar zijn de prioriteiten mijnheer Haek?
samedi, novembre 11, 2006
Une aggression de plus parmi nos collègues accompagnateurs le 7 novembre
Une agression de plus parmi nos collègues accompagnateurs, ce mardi 7 novembre 2006? Encore?
Savez-vous, entre-autres que cet homme, Ronny, s'est fait "braquer" sous la menace d'une arme à feu?
Comment cela s'est-il passé? Simple! Un usager dépourvu de son titre de transport est laissé en "paix" par notre camarade, voulant par là éviter toute rixe inutile, connaissant la dangerosité règnant sur cette ligne (Charleroi-Erquelinnes; zone de Marchiennes) à cette heure-là. Le gars, descendant à Marchiennes, braque son arme en direction de notre collègue en lui réclamant "la caisse". Heureusement, l'accompagnateur a gardé son sang-froid et l'agresseur est finalement parti sans emporter son "butin".
Pourtant ils l'avaient réclamé depuis belle lurette, leur deuxième accompagnateur en renfort sur ce trajet, les collègues du dépôt de Charleroi, sachant très bien que sur certains trains de cette ligne, l'insécurité est à son point culminant! Mais voilà, .....toujours ces mêmes problèmes de pénurie de personnel, fléau généralisé à la SNCB, qui oblige pas mal de nos collègues à plus de flexibilité, plus de polyvalence, à leur faire annuler et reporter bon nombre de congés, de récupérations, à bloquer leurs mutations, etc...!
Sans vouloir répéter pour la ennième fois ici ce que pas mal d'entre-nous connaissent, à savoir le sujet qui anime les "mouvements d'humeur" du cheminot, comme l'ont coutume d'appeler nos chers médias, mettant en excergue la "prise en otage" des usagers 'victimes' de nos grèves! Lesquelles, étant un droit du travailleur auquel le politique tend à réduire l'importance, voire le supprimer à terme, en commençant par l'instauration d'un "service minimum" pour le transport des voyageurs (proposition faite par le MR cette semaine)! Pour rappel historique, le premier geste de l'extrême-droite Allemande en 1933 était de supprimer le droit de grève, .....et le syndicalisme dans la foulée (...).
Non! Ici, une fois n'est pas coutume, il serait opportun de rendre hommage à la bravoure dont font preuve bon nombre de cheminots actuellement, et de leur dire: "courage, les gars, tenez bon"! Mais des mots ne sont que des mots, des paroles, souvent laissées lettre morte, un appel "au secours" quasiment sans réaction ou presque, par nos dirigeants. Pourquoi "presque", eh bien entre-autre dans ce cas ci-dessus, concernant la sécurité, une trouvaille actuellement en cours d'installation, est l'appui par des caméras dans les gares (?!?) ......Comment aurait pu intervenir une caméra lors du braquage "à main armée" de notre collègue Ronny??? Oui, pas bête non plus, supposons que de l'autre côté de la caméra, un écran, visualisé par la sécurité, fasse intervenir un agent faisant appel à ses collègues les plus proches (?) ......ce qui n'empêcherait en tout cas pas notre ami Ronny, dans la pire des éventualités, d'avoir risqué sa vie et d'avoir frôlé la mort de près; car à l'instant où vous lisez ceci, il aurait très bien pu se retrouver dans une caisse en bois au fond d'un cimetière!!!
L'absurdité en arrive à son comble actuellement dans notre société des chemins de fer, et nous devons tous nous montrer solidaires face à cette débauche d'inhumanité, guidée seulement par une recherche de rentabilité, injustifiée pour un service qui se veut "public"!
Savez-vous, entre-autres que cet homme, Ronny, s'est fait "braquer" sous la menace d'une arme à feu?
Comment cela s'est-il passé? Simple! Un usager dépourvu de son titre de transport est laissé en "paix" par notre camarade, voulant par là éviter toute rixe inutile, connaissant la dangerosité règnant sur cette ligne (Charleroi-Erquelinnes; zone de Marchiennes) à cette heure-là. Le gars, descendant à Marchiennes, braque son arme en direction de notre collègue en lui réclamant "la caisse". Heureusement, l'accompagnateur a gardé son sang-froid et l'agresseur est finalement parti sans emporter son "butin".
Pourtant ils l'avaient réclamé depuis belle lurette, leur deuxième accompagnateur en renfort sur ce trajet, les collègues du dépôt de Charleroi, sachant très bien que sur certains trains de cette ligne, l'insécurité est à son point culminant! Mais voilà, .....toujours ces mêmes problèmes de pénurie de personnel, fléau généralisé à la SNCB, qui oblige pas mal de nos collègues à plus de flexibilité, plus de polyvalence, à leur faire annuler et reporter bon nombre de congés, de récupérations, à bloquer leurs mutations, etc...!
Sans vouloir répéter pour la ennième fois ici ce que pas mal d'entre-nous connaissent, à savoir le sujet qui anime les "mouvements d'humeur" du cheminot, comme l'ont coutume d'appeler nos chers médias, mettant en excergue la "prise en otage" des usagers 'victimes' de nos grèves! Lesquelles, étant un droit du travailleur auquel le politique tend à réduire l'importance, voire le supprimer à terme, en commençant par l'instauration d'un "service minimum" pour le transport des voyageurs (proposition faite par le MR cette semaine)! Pour rappel historique, le premier geste de l'extrême-droite Allemande en 1933 était de supprimer le droit de grève, .....et le syndicalisme dans la foulée (...).
Non! Ici, une fois n'est pas coutume, il serait opportun de rendre hommage à la bravoure dont font preuve bon nombre de cheminots actuellement, et de leur dire: "courage, les gars, tenez bon"! Mais des mots ne sont que des mots, des paroles, souvent laissées lettre morte, un appel "au secours" quasiment sans réaction ou presque, par nos dirigeants. Pourquoi "presque", eh bien entre-autre dans ce cas ci-dessus, concernant la sécurité, une trouvaille actuellement en cours d'installation, est l'appui par des caméras dans les gares (?!?) ......Comment aurait pu intervenir une caméra lors du braquage "à main armée" de notre collègue Ronny??? Oui, pas bête non plus, supposons que de l'autre côté de la caméra, un écran, visualisé par la sécurité, fasse intervenir un agent faisant appel à ses collègues les plus proches (?) ......ce qui n'empêcherait en tout cas pas notre ami Ronny, dans la pire des éventualités, d'avoir risqué sa vie et d'avoir frôlé la mort de près; car à l'instant où vous lisez ceci, il aurait très bien pu se retrouver dans une caisse en bois au fond d'un cimetière!!!
L'absurdité en arrive à son comble actuellement dans notre société des chemins de fer, et nous devons tous nous montrer solidaires face à cette débauche d'inhumanité, guidée seulement par une recherche de rentabilité, injustifiée pour un service qui se veut "public"!
jeudi, novembre 09, 2006
Entretiens à l'élastique
Retards, pannes, les voyageurs ne comprennent pas toujours ce qui ne va pas à la SNCB. Quand on y regarde de plus près, les faits sont là: manque d'entretien et de personnel. Voici un témoignage du blog PE de Mons (http://cgsp-pe-mons.spaces.live.com/blog)
ENTRETIENS A L'ELASTIQUE!
Il est curieux de constater qu'à l'heure actuelle, tant qu'il n'y a aucune victime d'accidents provoqué par quelque phénomène, naturel ou non, aucune disposition n'est prise pour éviter le drame. Finie l'époque de "la chair à canons", nous sommes dans l'ère de l'expérimentation sécuritaire, c'est tout aussi destructeur mais beaucoup plus subtil, plus sournois mais moins direct. Victimes ou cobayes, les termes importent peu puisque......
......Même, on se voile la face derrière des statistiques, des rapports, des comparaisons... . "Ah! Mais de toutes façons on a x fois moins de chances d'être victime d'accident ferroviaire que d'accident de la route, mettons donc l'accent sur la sécurité routière, ciblons le conducteur alcoolique, ciblons les jeunes au volant,....". Idem pour le transport aérien: "s'il n'y avait pas ces foutus terroristes, l'avion serait le moyen de transport le plus sûr (...), ...et c'est tout bon pour les statistiques!"
Dans le même ordre d'idées, depuis l'administration de Mr Vinck; les dirigeants de notre société n'ont de cesse de rallonger la périodicité de l'entretien du matériel roulant, avec les conséquences que l'on devine, à terme: bris de caténaires ayant pour causes l'usure de la caténaire elle-même, des pantographes usés à l'extrême qui finissent par se briser, etc..; des supports de ferrodos pratiquement dépourvus de plaquettes de freins à cause d'une usure totale, et j'en passe et des meilleures....; certes des visites sporadiques et intermédiaires permettent d'éviter le pire par des réparations dans l'urgence, il faut bien "sauver les meubles", mais çà ne remplacera jamais un entretien, ne fut-ce qu'à court terme! Il est grand temps de s'en alarmer, le spectre de l'accident de Pécrot (il y a plus de 5 ans déjà!) hante toujours les cheminots, voir un pareil drame survenir pour cause de rallongement de périodicité des entretiens provoquerait non seulement des frustrations supplémentaires chez les agents, mais ne contribuerait en rien à la renomée du transport ferroviaire!...Mais les statistiques...encore et toujours les statistiques....!
Tirez sur un élastique, tirez de toutes vos forces, fut-il aussi épais et solide qu'il soit possible de l'être, tirez jusqu'à l'extrême, tirez, tirez encore et toujours....et si vous avez quelque connaissance en résistance des matériaux, vous saurez qu'à un certain moment cet élastique cassera, aussi extensible soit-il!!! Il en va de même pour la périodicité des entretiens, rallongez-les, tirez, tirez encore....et puis....CLAC! .....Pécrot n°2 ? ..Mais où, quand, comment? nul ne le sait, mais "le" pourquoi, ....çà ne fera nul doute!!
ENTRETIENS A L'ELASTIQUE!
Il est curieux de constater qu'à l'heure actuelle, tant qu'il n'y a aucune victime d'accidents provoqué par quelque phénomène, naturel ou non, aucune disposition n'est prise pour éviter le drame. Finie l'époque de "la chair à canons", nous sommes dans l'ère de l'expérimentation sécuritaire, c'est tout aussi destructeur mais beaucoup plus subtil, plus sournois mais moins direct. Victimes ou cobayes, les termes importent peu puisque......
......Même, on se voile la face derrière des statistiques, des rapports, des comparaisons... . "Ah! Mais de toutes façons on a x fois moins de chances d'être victime d'accident ferroviaire que d'accident de la route, mettons donc l'accent sur la sécurité routière, ciblons le conducteur alcoolique, ciblons les jeunes au volant,....". Idem pour le transport aérien: "s'il n'y avait pas ces foutus terroristes, l'avion serait le moyen de transport le plus sûr (...), ...et c'est tout bon pour les statistiques!"
Dans le même ordre d'idées, depuis l'administration de Mr Vinck; les dirigeants de notre société n'ont de cesse de rallonger la périodicité de l'entretien du matériel roulant, avec les conséquences que l'on devine, à terme: bris de caténaires ayant pour causes l'usure de la caténaire elle-même, des pantographes usés à l'extrême qui finissent par se briser, etc..; des supports de ferrodos pratiquement dépourvus de plaquettes de freins à cause d'une usure totale, et j'en passe et des meilleures....; certes des visites sporadiques et intermédiaires permettent d'éviter le pire par des réparations dans l'urgence, il faut bien "sauver les meubles", mais çà ne remplacera jamais un entretien, ne fut-ce qu'à court terme! Il est grand temps de s'en alarmer, le spectre de l'accident de Pécrot (il y a plus de 5 ans déjà!) hante toujours les cheminots, voir un pareil drame survenir pour cause de rallongement de périodicité des entretiens provoquerait non seulement des frustrations supplémentaires chez les agents, mais ne contribuerait en rien à la renomée du transport ferroviaire!...Mais les statistiques...encore et toujours les statistiques....!
Tirez sur un élastique, tirez de toutes vos forces, fut-il aussi épais et solide qu'il soit possible de l'être, tirez jusqu'à l'extrême, tirez, tirez encore et toujours....et si vous avez quelque connaissance en résistance des matériaux, vous saurez qu'à un certain moment cet élastique cassera, aussi extensible soit-il!!! Il en va de même pour la périodicité des entretiens, rallongez-les, tirez, tirez encore....et puis....CLAC! .....Pécrot n°2 ? ..Mais où, quand, comment? nul ne le sait, mais "le" pourquoi, ....çà ne fera nul doute!!
vendredi, novembre 03, 2006
1400 passagers bloqués en 1 semaine, dans le TGV
Six cents voyageurs bloqués plus de deux heures dans un TGV :"On a surtout l'impression d'avoir été traités comme des têtes de bétail"
[31/10/2006 - 16:07] PARIS (Reuters)
- Environ 600 voyageurs ont été bloqués pendant deux heures et demie lundi dans un TGV reliant Paris à Lyon, puis Nice, à la suite d'une baisse de tension électrique, apprend-on auprès de la SNCF.
Cet incident sur le train à grande vitesse, le second en une semaine dans le département de l'Yonne, a débuté à 10h45, non loin de Sens. Les passagers ont été évacués sans incident par transbordement à l'aide de passerelles.
Des retards de 15 minutes jusqu'à deux heures étaient prévus sur la ligne TGV Sud-est mais la SNCF s'attendait à un retour à la normale dans l'après-midi.
"C'est la loi des séries", a-t-on souligné à la direction de l'entreprise publique où l'on refuse d'établir un lien de causalité avec le précédent incident.
Jeudi dernier, 900 passagers avaient été bloqués pendant six heures dans ce même département.
Michaela CANCELA-KIEFFER
PARIS (AFP) -
Quelque 900 personnes ont été bloquées pendant près de six heures dans un TGV qui devait relier Perpignan (Pyrénées orientales) à Bruxelles (Belgique), à l'arrêt en pleine voie dans l'Yonne en raison d'une panne, décrivant des conditions difficiles.
"Nous avons eu un problème technique à la hauteur de Saint-Florentin, dans l'Yonne", a dans un premier temps déclaré un porte-parole de la SNCF, confirmant des témoignages de passagers.
Le TGV 9868 parti à 12h58 de Perpignan à destination de Bruxelles où il devait arriver à 20h25 était jumelé à un deuxième TGV, le 5021, parti de Montpellier à 14h44 et qui devait arriver à Lille à 19h38.
Sa motrice est tombée en panne vers 18h00 et le transbordement des passagers a commencé, dans une rame arrivée spécialement de la Gare de Lyon, à 20h50, a indiqué le directeur opérationnel de la SNCF, Philippe Jacob. Ce transbordement s'est achevé vers minuit, a-t-il précisé. La nouvelle rame a fait une halte à Marne-la-Vallée vers 1h du matin pour ravitailler les passagers.
"900 passagers à faire cheminer sur 250 mètres, des personnes âgées, des familles avec des enfants et beaucoup de bagages, cela prend du temps", a-t-il ajouté en précisant que le personnel de la SNCF, assisté de pompiers, avait "transbordé d'abord un premier élément, pendant que dans l'autre élément les clients ont attendu".
Ce responsable a décrit des problèmes de climatisation et des pannes de courant dans le train, comme les passagers, en expliquant toutefois qu'il n'y a avait eu aucun "malaise grave".
"Le médecin des pompiers est passé à plusieurs reprises dans les rames: il n'y a pas eu de problème", a de son côté affirmé un porte-parole de la direction Paris sud-est de la SNCF.
"Les passagers qui souhaitaient sortir s'aérer ont été autorisés à le faire, accompagnés d'un agent SNCF", a-t-il ajouté.
"Il doit faire 40 degrés dans ce wagon. Parfois nous sommes complètement dans le noir et sans climatisation", a affirmé pour sa part à l'AFP Jean-Marc Lemaitre, cadre de 43 ans, alors qu'il attendait le transbordement, vers 22h30.
Ce passager devait se rendre à Roissy, un des arrêts de ce train pour prendre l'avion et a appelé l'AFP. Il a indiqué qu'il devait partir au Kenya avec son épouse et a raté son avion, comme beaucoup d'autres selon lui.
"Maintenant, nous sommes tous debout, on est dans le noir. Les gens ne sont pas très à l'aise et tout le monde est trempé de sueur", a déclaré pour sa part au téléphone Raphael Margaf, 26 ans, parti de Lyon.
"Nous avons reçu des bouteilles d'eau il y a environ dix minutes", a-t-il dit peu avant 23h00, en affirmant qu'il n'y avait eu, auparavant "aucune distribution de nourriture ou d'eau".
, a-t-il accusé.
"Les pompiers, les gendarmes la SNCF ont posé des lumières tout le long des voies. Ils ont descendu nos valises. Cela s'est bien passé, mais il est vrai que l'on a eu très chaud", a déclaré pour sa part Christiane Bottollier, une autre passagère, évacuée plus tôt.
M. Jacob a indiqué que les passagers seraient compensés à 100% concernant leur "transport ferroviaire", sans être en mesure d'indiquer quelles compensations seraient offertes à ceux qui ont raté leur l'avion.
"Les voyageurs qui devaient prendre des avions seront hébergés à l'hôtel", a-t-il ajouté. Ceux qui devaient se rendre à Bruxelles seront pour leur part acheminés en autocars à partir de Lille, a-t-il précisé.
[31/10/2006 - 16:07] PARIS (Reuters)
- Environ 600 voyageurs ont été bloqués pendant deux heures et demie lundi dans un TGV reliant Paris à Lyon, puis Nice, à la suite d'une baisse de tension électrique, apprend-on auprès de la SNCF.
Cet incident sur le train à grande vitesse, le second en une semaine dans le département de l'Yonne, a débuté à 10h45, non loin de Sens. Les passagers ont été évacués sans incident par transbordement à l'aide de passerelles.
Des retards de 15 minutes jusqu'à deux heures étaient prévus sur la ligne TGV Sud-est mais la SNCF s'attendait à un retour à la normale dans l'après-midi.
"C'est la loi des séries", a-t-on souligné à la direction de l'entreprise publique où l'on refuse d'établir un lien de causalité avec le précédent incident.
Jeudi dernier, 900 passagers avaient été bloqués pendant six heures dans ce même département.
Michaela CANCELA-KIEFFER
PARIS (AFP) -
Quelque 900 personnes ont été bloquées pendant près de six heures dans un TGV qui devait relier Perpignan (Pyrénées orientales) à Bruxelles (Belgique), à l'arrêt en pleine voie dans l'Yonne en raison d'une panne, décrivant des conditions difficiles.
"Nous avons eu un problème technique à la hauteur de Saint-Florentin, dans l'Yonne", a dans un premier temps déclaré un porte-parole de la SNCF, confirmant des témoignages de passagers.
Le TGV 9868 parti à 12h58 de Perpignan à destination de Bruxelles où il devait arriver à 20h25 était jumelé à un deuxième TGV, le 5021, parti de Montpellier à 14h44 et qui devait arriver à Lille à 19h38.
Sa motrice est tombée en panne vers 18h00 et le transbordement des passagers a commencé, dans une rame arrivée spécialement de la Gare de Lyon, à 20h50, a indiqué le directeur opérationnel de la SNCF, Philippe Jacob. Ce transbordement s'est achevé vers minuit, a-t-il précisé. La nouvelle rame a fait une halte à Marne-la-Vallée vers 1h du matin pour ravitailler les passagers.
"900 passagers à faire cheminer sur 250 mètres, des personnes âgées, des familles avec des enfants et beaucoup de bagages, cela prend du temps", a-t-il ajouté en précisant que le personnel de la SNCF, assisté de pompiers, avait "transbordé d'abord un premier élément, pendant que dans l'autre élément les clients ont attendu".
Ce responsable a décrit des problèmes de climatisation et des pannes de courant dans le train, comme les passagers, en expliquant toutefois qu'il n'y a avait eu aucun "malaise grave".
"Le médecin des pompiers est passé à plusieurs reprises dans les rames: il n'y a pas eu de problème", a de son côté affirmé un porte-parole de la direction Paris sud-est de la SNCF.
"Les passagers qui souhaitaient sortir s'aérer ont été autorisés à le faire, accompagnés d'un agent SNCF", a-t-il ajouté.
"Il doit faire 40 degrés dans ce wagon. Parfois nous sommes complètement dans le noir et sans climatisation", a affirmé pour sa part à l'AFP Jean-Marc Lemaitre, cadre de 43 ans, alors qu'il attendait le transbordement, vers 22h30.
Ce passager devait se rendre à Roissy, un des arrêts de ce train pour prendre l'avion et a appelé l'AFP. Il a indiqué qu'il devait partir au Kenya avec son épouse et a raté son avion, comme beaucoup d'autres selon lui.
"Maintenant, nous sommes tous debout, on est dans le noir. Les gens ne sont pas très à l'aise et tout le monde est trempé de sueur", a déclaré pour sa part au téléphone Raphael Margaf, 26 ans, parti de Lyon.
"Nous avons reçu des bouteilles d'eau il y a environ dix minutes", a-t-il dit peu avant 23h00, en affirmant qu'il n'y avait eu, auparavant "aucune distribution de nourriture ou d'eau".
, a-t-il accusé.
"Les pompiers, les gendarmes la SNCF ont posé des lumières tout le long des voies. Ils ont descendu nos valises. Cela s'est bien passé, mais il est vrai que l'on a eu très chaud", a déclaré pour sa part Christiane Bottollier, une autre passagère, évacuée plus tôt.
M. Jacob a indiqué que les passagers seraient compensés à 100% concernant leur "transport ferroviaire", sans être en mesure d'indiquer quelles compensations seraient offertes à ceux qui ont raté leur l'avion.
"Les voyageurs qui devaient prendre des avions seront hébergés à l'hôtel", a-t-il ajouté. Ceux qui devaient se rendre à Bruxelles seront pour leur part acheminés en autocars à partir de Lille, a-t-il précisé.
Action des accompagnateurs et conducteurs
Ce lundi 30 octobre a eu lieu une grève d'un jour des ccompagnateurs et conducteurs concernant les conditions de travail et le manque d'effectif. Mons, Ath, Tournai, Braine-Le-Comte, La Louvière et Charleroi (conducteurs) était partiellement ou totalement à l'arrêt.Cela fait des mois que le manque d'effectif est criant dans la CPA de Mons (ainsi qu'à bien d'autres endroits!). La semaine d'avant, Ottignies faisait grève également.Ce qui a fait déborder le vase, ce sont les nouveaux horaires (séries) qui sont arrivés et qui doivent être d'application en décembre prochain. D'années en années, les services sont plus compressés ou allongés.Le malaise est général, mais c'est dans le district Sud-Ouest que le mouvement est parti.Il est évident que dans chaque dépôts des discussions sont en cours et que d'ici le mois de février, il y a fort à parier que la direction ne respecte pas ses engagements, ou ne réponde pas aux attentes des agents. Une grève n'est don pas encore totalement écartée chez les accompagnateurs...
Les conducteurs aussi
En ce qui concerne les conducteurs, les nouvelles séries prévoient une plus grande charge de travail déjà trop importante. Dans beaucoup d'endroits, la tension est forte. En plus, les conducteurs reçoivent des primes mensuelles qui sont fonctions d'un calcul qui ne correspond plus à ce que les gens attendent. Le système n'est pas équitable. C'est ce qui a poussé des conducteurs à se joindre à la grève des accompagnateurs.
Quand la direction appelle à la table des négociations... la police !
Dans la matinée, afin de calmer les esprits et d'apaiser la tension sociale, la direction a ... appelé la police pour mettre les conducteurs en dehors du poste de signalisation de Ath ! Un comble ! Heureusement, il y a eu une bonne entente entre les services de sécurité, la police et les cheminots en grève, de telle sorte que tout s'est passé dans la bonne humeur ! Café et croissants étaient au rendez-vous !
Les conducteurs aussi
En ce qui concerne les conducteurs, les nouvelles séries prévoient une plus grande charge de travail déjà trop importante. Dans beaucoup d'endroits, la tension est forte. En plus, les conducteurs reçoivent des primes mensuelles qui sont fonctions d'un calcul qui ne correspond plus à ce que les gens attendent. Le système n'est pas équitable. C'est ce qui a poussé des conducteurs à se joindre à la grève des accompagnateurs.
Quand la direction appelle à la table des négociations... la police !
Dans la matinée, afin de calmer les esprits et d'apaiser la tension sociale, la direction a ... appelé la police pour mettre les conducteurs en dehors du poste de signalisation de Ath ! Un comble ! Heureusement, il y a eu une bonne entente entre les services de sécurité, la police et les cheminots en grève, de telle sorte que tout s'est passé dans la bonne humeur ! Café et croissants étaient au rendez-vous !
jeudi, octobre 26, 2006
Libéralisation des chemins de fer
Bonjour,
Visiteur fréquentant plus assidument le site "Cheminots", lequel propose son forum de discussions, voici toutefois mon avis sur la société des chemins de fer:
- Ces derniers temps, la SNCB a été l'objet de remous (internes), dûs entre-autres aux successives restructurations.
Elles n'atteignent cependant pas actuellement leur "point culminant", car en fait, dès le 1er janvier 2007, la nouvelle structure de "New-Passengers" va commencer à se mettre en place, pour atteindre la phase finale de libérélisation en 2012! Alors que "B-Cargo" se trouve actuellement en cours de phase finale.
LIBERALISATION, le mot est lâché! Car ce phénomène, prétendu pour améliorer la concurrence à l'échelon Européen (sans toutefois privatiser....mon oeil!), est actuellement occupée à détruire le "service public", ainsi que toute garantie de protection sociale liée à ce type de gestion d'entreprise dite "publique" par l'état!
L'ensemble des cheminots devrait réagir à ce phénomène, et ce, au niveau Européen; que font les syndicalistes? Pourquoi ne bougent-ils pas plus?
Visiteur fréquentant plus assidument le site "Cheminots", lequel propose son forum de discussions, voici toutefois mon avis sur la société des chemins de fer:
- Ces derniers temps, la SNCB a été l'objet de remous (internes), dûs entre-autres aux successives restructurations.
Elles n'atteignent cependant pas actuellement leur "point culminant", car en fait, dès le 1er janvier 2007, la nouvelle structure de "New-Passengers" va commencer à se mettre en place, pour atteindre la phase finale de libérélisation en 2012! Alors que "B-Cargo" se trouve actuellement en cours de phase finale.
LIBERALISATION, le mot est lâché! Car ce phénomène, prétendu pour améliorer la concurrence à l'échelon Européen (sans toutefois privatiser....mon oeil!), est actuellement occupée à détruire le "service public", ainsi que toute garantie de protection sociale liée à ce type de gestion d'entreprise dite "publique" par l'état!
L'ensemble des cheminots devrait réagir à ce phénomène, et ce, au niveau Européen; que font les syndicalistes? Pourquoi ne bougent-ils pas plus?
mercredi, septembre 06, 2006
Treinen rijden te vaak door rood licht
Het aantal treinen dat door het rode licht rijdt, neemtopnieuw toe. Dat schrijft de Franstalige krant Le Soir woensdag.
Tussen 2003 en 2004 steeg het aantal van 47 naar 64. De stijging is hoofdzakelijk te wijten aan onoplettendheid, aldus de directeur-generaal Treinen van de NMBS, Richard Gayetot.
Na opleidingen die de NMBS gaf, waren er in 2005 drie gevallen minder. Voor dit jaar rekent de NMBS op een daling van de incidenten met tien procent. Om de problematiek te illustreren heeft Le Soir het onder meer over een incident op 13 juni. Daarbij reed een passagierstrein die uit Namen kwam door het rode licht. Een andere trein was ondertussen op weg richting Namen. De stationschef van Hoei kon ingrijpen waardoor de twee treinen ongeveer een kilometer van elkaar tot stilstand kwamen.
Volgens een interne nota van de NMBS, die de krant kon inkijken, had het ongeval zware gevolgen kunnen hebben.
Communicatie
De NMBS nam in 2005 maatregelen om dergelijke situaties te voorkomen. ,,Er is meer communicatie en meer uitleg voor de treinbestuurders. Die krijgen ook vaker begeleiders mee, die hun leren laattijdig remmen tevermijden'', legt Gayetot uit.
Volgens de vakbond is de verhoging van het aantal incidenten te wijten aan de de verhoogde productiviteit die de laatste jaren van de werknemers wordt geëist.
Tussen 2003 en 2004 steeg het aantal van 47 naar 64. De stijging is hoofdzakelijk te wijten aan onoplettendheid, aldus de directeur-generaal Treinen van de NMBS, Richard Gayetot.
Na opleidingen die de NMBS gaf, waren er in 2005 drie gevallen minder. Voor dit jaar rekent de NMBS op een daling van de incidenten met tien procent. Om de problematiek te illustreren heeft Le Soir het onder meer over een incident op 13 juni. Daarbij reed een passagierstrein die uit Namen kwam door het rode licht. Een andere trein was ondertussen op weg richting Namen. De stationschef van Hoei kon ingrijpen waardoor de twee treinen ongeveer een kilometer van elkaar tot stilstand kwamen.
Volgens een interne nota van de NMBS, die de krant kon inkijken, had het ongeval zware gevolgen kunnen hebben.
Communicatie
De NMBS nam in 2005 maatregelen om dergelijke situaties te voorkomen. ,,Er is meer communicatie en meer uitleg voor de treinbestuurders. Die krijgen ook vaker begeleiders mee, die hun leren laattijdig remmen tevermijden'', legt Gayetot uit.
Volgens de vakbond is de verhoging van het aantal incidenten te wijten aan de de verhoogde productiviteit die de laatste jaren van de werknemers wordt geëist.
dimanche, septembre 03, 2006
Grève dans les gares de Liège, Mons, La Louvière et Namur
Les agents de sécurité veulent un renforcement de leurs effectifs pour plus de sécurité
Des mouvements de grève ont été observés vendredi matin dans les gares de Namur, Mons, La Louvière et Liège par les agents de sécurité et des travailleurs de la SNCB.
Les actions menées à Namur et Mons par la CGSP, pour le secteur sécurité de la SNCB, étaient prévues. Elles ont démarré vers 08H00 par un rassemblement et un meeting des permanents syndicaux, avant que les trains ne soient bloqués symboliquement. Une cinquantaine de personnes étaient présentes dans chaque gare. De 08H20 à 09H23, à Namur, les agents en grève ont bloqué les trains durant dix minutes. "Nous attendons maintenant un geste de la SNCB", a expliqué Christian Martin, permanent CGSP à Namur pour le secteur cheminots.
Les agents de sécurité veulent un renforcement de leurs effectifs afin d'assurer une meilleure sécurité dans les gares. Ils contestent la réforme, par la SNCB, de son "Corportate Security Service" (B-Security) dès ce 1er septembre.
Un mouvement de grève spontané s'est également déclenché à la gare de Liège-Guillemins, où les accompagnateurs de trains ont débrayé entre 04H00 et 07H00 pour réclamer plus de sécurité.
En gare de La Louvière, une grande partie du personnel a également observé un arrêt de travail. Des accompagnateurs, des agents de sécurité, des conducteurs de trains, des agents de maintenance et des guichetiers se sont ainsi croisé les bras. "La Louvière est la cible de nombreuses violences. Il faut comprendre le personnel", a expliqué explique Christian Martin.
Aucune autre action n'est prévue avant le jeudi 7 septembre. "Une sous-commission paritaire doit se tenir le mercredi 6 septembre. Il n'y a rien de prévu d'ici là, mais on ne sait jamais", a conclu le syndicaliste.
Source: DHnet, 01/09/2006
Des mouvements de grève ont été observés vendredi matin dans les gares de Namur, Mons, La Louvière et Liège par les agents de sécurité et des travailleurs de la SNCB.
Les actions menées à Namur et Mons par la CGSP, pour le secteur sécurité de la SNCB, étaient prévues. Elles ont démarré vers 08H00 par un rassemblement et un meeting des permanents syndicaux, avant que les trains ne soient bloqués symboliquement. Une cinquantaine de personnes étaient présentes dans chaque gare. De 08H20 à 09H23, à Namur, les agents en grève ont bloqué les trains durant dix minutes. "Nous attendons maintenant un geste de la SNCB", a expliqué Christian Martin, permanent CGSP à Namur pour le secteur cheminots.
Les agents de sécurité veulent un renforcement de leurs effectifs afin d'assurer une meilleure sécurité dans les gares. Ils contestent la réforme, par la SNCB, de son "Corportate Security Service" (B-Security) dès ce 1er septembre.
Un mouvement de grève spontané s'est également déclenché à la gare de Liège-Guillemins, où les accompagnateurs de trains ont débrayé entre 04H00 et 07H00 pour réclamer plus de sécurité.
En gare de La Louvière, une grande partie du personnel a également observé un arrêt de travail. Des accompagnateurs, des agents de sécurité, des conducteurs de trains, des agents de maintenance et des guichetiers se sont ainsi croisé les bras. "La Louvière est la cible de nombreuses violences. Il faut comprendre le personnel", a expliqué explique Christian Martin.
Aucune autre action n'est prévue avant le jeudi 7 septembre. "Une sous-commission paritaire doit se tenir le mercredi 6 septembre. Il n'y a rien de prévu d'ici là, mais on ne sait jamais", a conclu le syndicaliste.
Source: DHnet, 01/09/2006
jeudi, août 31, 2006
Une concentration aura lieu à Mons le 1er Septembre dés 08h00 avec blocage du trafic
La sécurité des voyageurs, mais aussi des cheminots est remise en cause.
La SNCB, vient de décider de mettre en application un nouveau plan pour B-Security au 1er septembre 2006.
La nouvelle réorganisation prévoit pour notre district un recentrage du personnel sur Charleroi et une diminution d’effectif sur Mons et Tournai, alors que nous demandions plus d’agents et plus de gares avec présence de ce personnel.
Quid des promesses faites sur le district ?
Quid du plan RER qui prévoyait l’installation d’une brigade à Braine-Le-Comte, Braine-L’alleud ou Nivelles ?
Quid des interventions de nuit ?
Comment promettre une meilleure sécurité en diminuant le nombre des intervenants ?
La direction contrairement aux promesses faites lors des nombreuses agressions, ne tient pas sa parole. Non seulement nous avions, il y a peu été évincé de toutes discussions, mais cette direction continue contrairement à ce qu’elle annonce dans la presse à détricoter le système de protection des cheminots et des voyageurs.
Faudra t-il un meurtre de plus pour qu’elle ouvre les yeux ?
Faudra t-il une nouvelle marche silencieuse pour que le politique intervienne ?
Par conséquent au vu de ce qui précède, une concentration aura lieu :
À Mons (quai N° 1) le 1er Septembre dés 08h00 avec blocage du trafic.
La sécurité des Voyageurs et des Cheminots, est l’affaire de tous !
La SNCB, vient de décider de mettre en application un nouveau plan pour B-Security au 1er septembre 2006.
La nouvelle réorganisation prévoit pour notre district un recentrage du personnel sur Charleroi et une diminution d’effectif sur Mons et Tournai, alors que nous demandions plus d’agents et plus de gares avec présence de ce personnel.
Quid des promesses faites sur le district ?
Quid du plan RER qui prévoyait l’installation d’une brigade à Braine-Le-Comte, Braine-L’alleud ou Nivelles ?
Quid des interventions de nuit ?
Comment promettre une meilleure sécurité en diminuant le nombre des intervenants ?
La direction contrairement aux promesses faites lors des nombreuses agressions, ne tient pas sa parole. Non seulement nous avions, il y a peu été évincé de toutes discussions, mais cette direction continue contrairement à ce qu’elle annonce dans la presse à détricoter le système de protection des cheminots et des voyageurs.
Faudra t-il un meurtre de plus pour qu’elle ouvre les yeux ?
Faudra t-il une nouvelle marche silencieuse pour que le politique intervienne ?
Par conséquent au vu de ce qui précède, une concentration aura lieu :
À Mons (quai N° 1) le 1er Septembre dés 08h00 avec blocage du trafic.
La sécurité des Voyageurs et des Cheminots, est l’affaire de tous !
Machinisten depot Gent St.-Pieters staakten deze ochtend
Deze ochtend vroeg staakten de machinisten van het depot Gent St.-Pieters van 03u - 07u.
De concrete aanleiding voor de actie was het feit dat de NMBS-directie een compleet vernieuwe reglementering in verband met de Signalisatie van het treinverkeer wou laten ingaan op vrijdag 1 september. Dit zonder de machinisten opleiding of bijscholing te geven over de nieuwigheden, wijzigingen, aanpassingen van de signalisatie. Geen opleiding geven over zo'n essentiële dingen is vragen om problemen en brengt de veiligheid van het treinverkeer in gevaar.
De directie wou op geen enkele manier opleiding of toelichting geven bij de bundel van meer dan 200 blz. Erger nog: deze week verspreidde de directie nog een extra bundeltje van meer dan 20 blz met correcties en aanpassingen op de nieuwe reglementering die op 1 september van toepassing zou worden.
Deze morgen gaf de directie toe aan de actievoerders en besloot de invoering van de nieuwe signalisatie uit te stellen tot nader te bepalen datum en eerst de treinbestuurders de nodige opleiding te geven in de komende weken.
Daarop werd de actie afgeblazen. De directie voelde de hete adem in haar nek, want er werden de komende dagen ook acties verwacht in West-Vlaanderen en Henegouwen.
De treinbestuurders zullen nu de directie aan hun woord houden en verwachten dat men zo snel mogelijk met de opleidingen begint. Dit echter zonder te raken aan de verlof- en rustdagen van de treinbestuurders.
Bovendien stelden de treinbestuurders naar de toekomst toe nog bijkomende eisen:
De concrete aanleiding voor de actie was het feit dat de NMBS-directie een compleet vernieuwe reglementering in verband met de Signalisatie van het treinverkeer wou laten ingaan op vrijdag 1 september. Dit zonder de machinisten opleiding of bijscholing te geven over de nieuwigheden, wijzigingen, aanpassingen van de signalisatie. Geen opleiding geven over zo'n essentiële dingen is vragen om problemen en brengt de veiligheid van het treinverkeer in gevaar.
De directie wou op geen enkele manier opleiding of toelichting geven bij de bundel van meer dan 200 blz. Erger nog: deze week verspreidde de directie nog een extra bundeltje van meer dan 20 blz met correcties en aanpassingen op de nieuwe reglementering die op 1 september van toepassing zou worden.
Deze morgen gaf de directie toe aan de actievoerders en besloot de invoering van de nieuwe signalisatie uit te stellen tot nader te bepalen datum en eerst de treinbestuurders de nodige opleiding te geven in de komende weken.
Daarop werd de actie afgeblazen. De directie voelde de hete adem in haar nek, want er werden de komende dagen ook acties verwacht in West-Vlaanderen en Henegouwen.
De treinbestuurders zullen nu de directie aan hun woord houden en verwachten dat men zo snel mogelijk met de opleidingen begint. Dit echter zonder te raken aan de verlof- en rustdagen van de treinbestuurders.
Bovendien stelden de treinbestuurders naar de toekomst toe nog bijkomende eisen:
- het serieus nemen van de comités PBW (veiligheid)
- het rijden op lijnen zonder lijnkennis wordt categoriek verworpen
- de overgang na 18 jaar dienst naar 1ste treinbestuurder
- rekening houden met de opmerkingen van het personeel bij het opstellen van de nieuwe reeksen (dienstregeling)
- behoud van anciëniteit voor de rangeerbestuurders die de overstap naar treinbestuurder maken.
Machinisten mogelijks in actie de komende dagen
Mogelijks komen er de komende dagen op diverse plaatsen en depots acties van de machinisten van de NMBS. Op vrijdag 1 september voert de NMBS een nieuwe reglementering in ivm de "Signalisatie van het treinverkeer" in.
Zowel in enkele Vlaamse depots als in een paar Waalse groeit de onrust bij de treinbestuurders. De NMBS-directie wil namelijk op 1 september een nieuwe reglementering invoeren in veband met de signalisatie van het treinverkeer, en dit zonder er de treinbestuurders de nodige opleiding over te geven.
Veel machinisten zijn boos, ongerust en spreken er schande over. In de nieuwe reglementering wijzigen heel wat zaken, wordt nieuwe signalisatie ingevoerd, worden aanpassingen doorgevoerd, etc. De signalisatie is nogal iets essentieels uiteraard. Men is vooral boos omdat de machinisten hierover enkel een bundel documenten van zo'n 200 blz kregen, zonder enige opleidingsessie over de wijzigingen, nieuwigheden en aanpassingen ivm de signalisatie op het Belgisch spoorwegennet. Geen woordje uitleg, niks! Nog erger: deze week kregen ze al een stapeltje documenten met correcties op fouten die in de nieuwe reglementering staan die vanaf 1 september van kracht wordt.
Wij vinden dit ongehoord, dit gaat in tegen alle principes van een veilig treinverkeer! Zo vraagt men om moeilijkheden.
Daarom rommelt het onder het treinbesturingspersoneel en kan het de komende dagen wel eens tot spontane acties komen op verschillende plaatsen.
De machinisten eisen: een degelijke opleiding over de nieuwe bundel over de Signalisatie vooraleer deze van kracht wordt.
Herinner je dat amper iets meer dan een jaar geleden zich ongeveer hetzelfde voor deed. Toen voerde de NMBS-directie een hele nieuwe bundel in over de reglementering ivm het remmen van de treinen. ook iets super essentieel. Eerst wilde men daar toen ook geen opleiding over geven, tot de treinbestuurders her en der dreigden met acties. Zal de geschiedenis zich herhalen?
Een ezel stoot zich geen twee keer aan dezelfde steen, maar de NMBS-directie blijkbaar wel...begrijpe wie kan!
mercredi, août 30, 2006
Perturbations sur le rail le 1er septembre?
Le personnel Sécurité de la SNCB dépose un préavis de grève pour le vendredi 1er septembre. Motif : toujours le problème de l'insécurité dans les gares et les trains mais aussi la restructuration du personnel de sécurité
Tout le pays pourrait être touché le 1er septembre par des concentrations d'agents dans les principales gares du pays. Un arrêt de deux heures du trafic ferroviaire après 8 Heures touchera aussi les grosses gares belges.
Motif : toujours le problème de l'insécurité dans les gares et les trains , une nouvelle agression d'accompagnateur a encore été enregistrée la semaine dernière sur la ligne 124 - la liaison Bruxelles/Charleroi, mais aussi la restructuration du personnel de sécurité que le personnel n' approuve pas.
Source: RTBF, 26/08/2006
Tout le pays pourrait être touché le 1er septembre par des concentrations d'agents dans les principales gares du pays. Un arrêt de deux heures du trafic ferroviaire après 8 Heures touchera aussi les grosses gares belges.
Motif : toujours le problème de l'insécurité dans les gares et les trains , une nouvelle agression d'accompagnateur a encore été enregistrée la semaine dernière sur la ligne 124 - la liaison Bruxelles/Charleroi, mais aussi la restructuration du personnel de sécurité que le personnel n' approuve pas.
Source: RTBF, 26/08/2006
mardi, août 29, 2006
Veiligheidsagenten NMBS dreigen met staking
De veiligheidsagenten van de NMBS hebben een stakingsaanzegging ingediend die op 1 september afloopt. Dat meldt de RTBF-radio zaterdagochtend. De stakingsaanzegging komt er na een agressie tegen een agent vorige week op lijn 124 Brussel-Charleroi. Voor de veiligheidsagenten van Securail is de maat vol. Ze eisen een versterking van het personeelsbestand.
De NMBS heeft bijkomende aanwervingen voorzien, maar de eerste nieuwe agenten zouden pas begin 2007 aan de slag gaan. Wel is voorzien dat bepaalde agenten op andere lijnen worden ingezet.
brons De Standaard, RTBF, 26/08/2006
De NMBS heeft bijkomende aanwervingen voorzien, maar de eerste nieuwe agenten zouden pas begin 2007 aan de slag gaan. Wel is voorzien dat bepaalde agenten op andere lijnen worden ingezet.
brons De Standaard, RTBF, 26/08/2006
jeudi, août 10, 2006
ABX, of hoe de staat te melken
Nog een privatisering meer dus. Ex-minister Vande Lanotte (SP.a) gaf er opdracht toe, zijn vroegere kabinetchef Jannie Haeck, ondertussen gedelegeerd bestuurder van de NMBS-Holding, rondde de operatie af. De oude pakjesdienst van de NMBS werd in 1993 omgedoopt tot ABX. Ze werd een filiaal en groeide uit tot een groot logistiek bedrijf dat vandaag 10.000 mensen tewerk- stelt in honderd landen. Zakencijfer? 2,5 miljard euro.
En daarvoor vraagt de staat 10 miljoen euro? Yep. Overnemer 3i, die al twee jaar met de NMBS onderhandelt, spendeerde alleen al aan de lonen van een groep experts die het dossier moesten bestuderen, het dubbele van dat bedrag. Toegegeven, het Britse fonds neemt de enorme schuldenberg van ABX (250 miljoen euro) over, net zoals de belangrijke pensioenlast (90 miljoen, vooral in Duitsland).
Veel duiten. Maar veel minder dan de staat, via de NMBS, jarenlang in ABX pompte: 1,5 miljard euro. De NMBS gaf de overnemer ook nog eens garanties voor eventuele rechtsgedingen of fiscale en milieuobligaties, voor een bedrag van tegen de 110 miljoen.
Kosten noch moeite werden gespaard om 3i "in een zetel" naar de onderhandelingstafel te brengen. Te beginnen met de verklaring van Haek in 2005: "De waarde van ABX is nul". Geen sprake van dus om de prijs op te drijven door verschillende kandidaten te doen opbieden tegen elkaar. Meer zelfs, eind 2005 aanvaardde de Europese Unie een ultieme publieke herfinanciering, op voorwaarde dat ze geprivatiseerd werd binnen een periode van maximum een jaar. De onderhandelaars van de NMBS waren dus vrijwel verplicht om tot een akkoord te komen met 3i. Een akkoord, op maat van de Britten wel te verstaan.
Ook Fortis Private Equity zou een aandeel van 5 tot 15% in ABX hebben genomen. Niet verbazend: de groep van Maurice Lippens is goed thuis in privatiseringen (ASLK, Bank van de Post, NMKN). Het is niet duur en het brengt goed op.
Bron: Solidair.org, 09/08/2006
En daarvoor vraagt de staat 10 miljoen euro? Yep. Overnemer 3i, die al twee jaar met de NMBS onderhandelt, spendeerde alleen al aan de lonen van een groep experts die het dossier moesten bestuderen, het dubbele van dat bedrag. Toegegeven, het Britse fonds neemt de enorme schuldenberg van ABX (250 miljoen euro) over, net zoals de belangrijke pensioenlast (90 miljoen, vooral in Duitsland).
Veel duiten. Maar veel minder dan de staat, via de NMBS, jarenlang in ABX pompte: 1,5 miljard euro. De NMBS gaf de overnemer ook nog eens garanties voor eventuele rechtsgedingen of fiscale en milieuobligaties, voor een bedrag van tegen de 110 miljoen.
Kosten noch moeite werden gespaard om 3i "in een zetel" naar de onderhandelingstafel te brengen. Te beginnen met de verklaring van Haek in 2005: "De waarde van ABX is nul". Geen sprake van dus om de prijs op te drijven door verschillende kandidaten te doen opbieden tegen elkaar. Meer zelfs, eind 2005 aanvaardde de Europese Unie een ultieme publieke herfinanciering, op voorwaarde dat ze geprivatiseerd werd binnen een periode van maximum een jaar. De onderhandelaars van de NMBS waren dus vrijwel verplicht om tot een akkoord te komen met 3i. Een akkoord, op maat van de Britten wel te verstaan.
Ook Fortis Private Equity zou een aandeel van 5 tot 15% in ABX hebben genomen. Niet verbazend: de groep van Maurice Lippens is goed thuis in privatiseringen (ASLK, Bank van de Post, NMKN). Het is niet duur en het brengt goed op.
Bron: Solidair.org, 09/08/2006
ABX, ou comment pomper l'Etat
Et une privatisation de plus. L'ex-ministre Vande Lanotte (SP.a) l'avait décidée, son ancien chef de cabinet, Jannie Haeck, devenu administrateur délégué de SNCB-Holding, vient de la finaliser. C'est en 1993 que l'ancienne division colis de la SNCB est rebaptisée ABX. Elle sera filialisée et deviendra une grosse entreprise de logistique qui emploie aujourd'hui 10000 personnes et réalise un chiffre d'affaires de 2,5 milliards d'euros dans une centaine de pays.
Dix millions d'euros pour ça? Le repreneur 3i, qui négociait depuis deux ans avec la SNCB, a déboursé le double rien que pour faire étudier le dossier par une flopée d'experts. Mais le fonds britannique a fait valoir les énormes dettes accumulées par ABX (250 millions d'euros) ainsi que d'importantes provisions pour pensions (90 millions, surtout pour l'Allemagne).
C'est lourd, mais beaucoup moins que ce que l'Etat (via la SNCB) a investi dans ABXdepuis des années: 1,5 milliard. D'autant qu'en cédant ABX, la SNCB a encore accordé des garanties au repreneur pour d'éventuels litiges, obligations fiscales ou environnementales. Pour un montant pouvant atteindre 110 millions.
Tout a été fait pour mettre 3i en position de force dans les négociations. A commencer par la déclaration de Haeck en 2005: «La valeur d'ABX est nulle.» De plus, 3i a obtenu l'exclusivité pour les négociations. Pas question, donc, de faire monter les enchères en mettant plusieurs candidats en concurrence. Et puis, fin 2005, l'Union européenne avait accepté un ultime refinancement public d'ABX à condition que celle-ci soit privatisée dans un délai d'un an maximum. Les négociateurs de la SNCB étaient donc pratiquement obligés d'aboutir à un accord avec 3i. Aux conditions de ce dernier.
On apprend aujourd'hui que Fortis Private Equity prendrait également 5 à 15% des parts d'ABX. Pas étonnant: le groupe de Maurice Lippens est un habitué des privatisations (CGER, Banque de la Poste, SNCI). C'est pas cher et ça rapporte gros.
Source: Solidaire.org, 0/08/2006
Dix millions d'euros pour ça? Le repreneur 3i, qui négociait depuis deux ans avec la SNCB, a déboursé le double rien que pour faire étudier le dossier par une flopée d'experts. Mais le fonds britannique a fait valoir les énormes dettes accumulées par ABX (250 millions d'euros) ainsi que d'importantes provisions pour pensions (90 millions, surtout pour l'Allemagne).
C'est lourd, mais beaucoup moins que ce que l'Etat (via la SNCB) a investi dans ABXdepuis des années: 1,5 milliard. D'autant qu'en cédant ABX, la SNCB a encore accordé des garanties au repreneur pour d'éventuels litiges, obligations fiscales ou environnementales. Pour un montant pouvant atteindre 110 millions.
Tout a été fait pour mettre 3i en position de force dans les négociations. A commencer par la déclaration de Haeck en 2005: «La valeur d'ABX est nulle.» De plus, 3i a obtenu l'exclusivité pour les négociations. Pas question, donc, de faire monter les enchères en mettant plusieurs candidats en concurrence. Et puis, fin 2005, l'Union européenne avait accepté un ultime refinancement public d'ABX à condition que celle-ci soit privatisée dans un délai d'un an maximum. Les négociateurs de la SNCB étaient donc pratiquement obligés d'aboutir à un accord avec 3i. Aux conditions de ce dernier.
On apprend aujourd'hui que Fortis Private Equity prendrait également 5 à 15% des parts d'ABX. Pas étonnant: le groupe de Maurice Lippens est un habitué des privatisations (CGER, Banque de la Poste, SNCI). C'est pas cher et ça rapporte gros.
Source: Solidaire.org, 0/08/2006
mercredi, août 02, 2006
Europese Commissie geeft groen licht verkoop ABX
De Europese Commissie heeft woensdag groen lichtgegeven aan de Britse investeringsgroep 3i voor de verwerving van ABX Logistics Worldwide en zijn filialen, waaronder ABX Belgium. Dat is woensdag bekendgemaakt in een mededeling.
Begin juli sloot de NMBS eenprinciepsakkoord met 3i over de verwerving van ABX Worldwide, het logistieke filiaal van de NMBS gespecialiseerd in internationaal transport: activiteiten van transport en distributie over de weg, lucht-en zeevracht, opslag en express. Aan de operatie hangt een prijskaartje dat geraamd wordt op zowat 80 miljoen euro. Hoewel de goedkeuring van de Europese Commissie betrekking heeft op heel ABX, zal de Belgische logistieke divisie waarschijnlijk bij de NMBS blijven, aldus de economische pers recent. ABX Logistics Belgium heeft een omzet van ongeveer honderd miljoen euro en goed is voor 3,8 procent van de activiteiten van de groep.
Bron: DS, 02/08/2006
Begin juli sloot de NMBS eenprinciepsakkoord met 3i over de verwerving van ABX Worldwide, het logistieke filiaal van de NMBS gespecialiseerd in internationaal transport: activiteiten van transport en distributie over de weg, lucht-en zeevracht, opslag en express. Aan de operatie hangt een prijskaartje dat geraamd wordt op zowat 80 miljoen euro. Hoewel de goedkeuring van de Europese Commissie betrekking heeft op heel ABX, zal de Belgische logistieke divisie waarschijnlijk bij de NMBS blijven, aldus de economische pers recent. ABX Logistics Belgium heeft een omzet van ongeveer honderd miljoen euro en goed is voor 3,8 procent van de activiteiten van de groep.
Bron: DS, 02/08/2006
mardi, juin 27, 2006
Ce mardi 27 juin 2006 : 2 Thalys bloqués en gare de Bruxelles-Midi
A partir de 10.00, les agents semi qualifié ou non qualifié ont arrêté le travail. Ils ont protesté au non recrutement récurrent d’effectif ouvrier de la part de la direction SNCB. De plus, celle-ci ne respecte pas le protocole d’accord social 2006-2008 annonçant l'engagement de 2500 nouveaux agents. Les agents( chargeur, agent de triage, de la voie, de métier....) de Bruxelles-midi, Nord, Schaerbeek ont bloqué le Thalys à destination de Paris de 10.39 pendant 15min. Par après, ils ont fait de même avec le Thalys à destination de Marseille de 11.25 mais cette fois-ci jusqu’à12.00. Les cheminots ont tout de suite reçu le soutien de leur permanent de la CGSP et CSC présent à l’action. Déjà jeudi 15 juin, une action similaire avait été faîte à Mons et Liège. L’été risque d’être encore chaud sur le rail belge…………..
vendredi, juin 02, 2006
De nouveaux acteurs sur le marché de rail belge
De nouveaux acteurs s'apprêtent à faire leur apparition sur le marché belge du transport de fret par rail.
La SNCB et la petite société D&L Cargo se trouveront en effet bientôt face à la concurrence de la SNCF française, de la néerlandaise Railion et de l'allemande Rail4Chem, annonce "De Tijd" lundi. Selon le "Tijd", ces trois sociétés disposent des autorisations nécessaires pour circuler sur le réseau belge ou sont sur le point de les recevoir. Le transport européen de fret sur le réseau ferroviaire, déjà partiellement ouvert à la concurrence, doit être totalement liberalisé à partir du 1er janvier 2006. Contrairement aux entreprises publiques SNCF et Railion, Rail4Chem est une société privée, mise sur pied par l'industrie chimique.
Source (NLE, belga 23/05/2006)
La SNCB et la petite société D&L Cargo se trouveront en effet bientôt face à la concurrence de la SNCF française, de la néerlandaise Railion et de l'allemande Rail4Chem, annonce "De Tijd" lundi. Selon le "Tijd", ces trois sociétés disposent des autorisations nécessaires pour circuler sur le réseau belge ou sont sur le point de les recevoir. Le transport européen de fret sur le réseau ferroviaire, déjà partiellement ouvert à la concurrence, doit être totalement liberalisé à partir du 1er janvier 2006. Contrairement aux entreprises publiques SNCF et Railion, Rail4Chem est une société privée, mise sur pied par l'industrie chimique.
Source (NLE, belga 23/05/2006)
NMBS krijgt meer concurrentie voor goederenvervoer
De NMBS krijgt er voor het goederenvervoer twee concurrenten bij.
EWS, de vrachtdivisie van British Rail, en de Nederlandse spoorwegonderneming ACTS van Rob Van Gansewinkel hebben bij de Belgische overheid een aanvraag ingediend om vracht te vervoeren over het Belgische spoor. Dat bericht De Tijd woensdag. Infrabel, de beheerder van de Belgische spoorinfrastructuur, onderzoekt of de maatschappijen aan de voorwaarden voldoen. Is dat zo, dan krijgen ze een veiligheidscertificaat en mogen ze sporen. Volgens Luc Vansteenkiste, directeur-generaal van Infrabel, willen ze dit jaar starten. Infrabel is ook benaderd door Connex (een dochter van de Franse nutsgroep Veolia), European Rail Shuttle (een dochter van het Deense Maersk) en het Duitse HGK, zegt hij.
Bron 24/05/2006 Copyright © Belga
Rail4Chem nu ook in België
Ondertussen is naar privé-spooroperator DLC, ook Rail4Chem actief in België. Je kan beide firma's regelmatig zien rijden van en naar Zeebrugge sedert eind mei.
Ze baten een spoorverbinding uit tussen Zeebrugge en Warschau (Polen) voor het vervoer van auto's. Rail4Chem is een Duitse joint-venture van BASF AG (Ludwigshafen), Bertschi (CH-Dürrenäsch), Hoyer en VTG AG (Hamburg). Ze hebben filialen voor de Benelux Rail4Chem Benelux BV (in Rotterdam) en Rail4chem Transalp (Zwitserland). Rail4chem heeft 150 werknemers. Welke de arbeidsvoorwaarden zijn en of men zich aan alle voorziene veiligheidsregels houdt is nog zeer de vraag. Heb je daar meer info over? Stuur ons een mailtje of plaats een reactie.
Zie de persmededeling van Rail4chem (in het Engels PDF-bestand): http://www.rail4chem.com/fileadmin/images/pdfs/pdfs_eng/PR_rail4chem_05-06_car-carrying_trains_080506__GB_.pdf
EWS, de vrachtdivisie van British Rail, en de Nederlandse spoorwegonderneming ACTS van Rob Van Gansewinkel hebben bij de Belgische overheid een aanvraag ingediend om vracht te vervoeren over het Belgische spoor. Dat bericht De Tijd woensdag. Infrabel, de beheerder van de Belgische spoorinfrastructuur, onderzoekt of de maatschappijen aan de voorwaarden voldoen. Is dat zo, dan krijgen ze een veiligheidscertificaat en mogen ze sporen. Volgens Luc Vansteenkiste, directeur-generaal van Infrabel, willen ze dit jaar starten. Infrabel is ook benaderd door Connex (een dochter van de Franse nutsgroep Veolia), European Rail Shuttle (een dochter van het Deense Maersk) en het Duitse HGK, zegt hij.
Bron 24/05/2006 Copyright © Belga
Rail4Chem nu ook in België
Ondertussen is naar privé-spooroperator DLC, ook Rail4Chem actief in België. Je kan beide firma's regelmatig zien rijden van en naar Zeebrugge sedert eind mei.
Ze baten een spoorverbinding uit tussen Zeebrugge en Warschau (Polen) voor het vervoer van auto's. Rail4Chem is een Duitse joint-venture van BASF AG (Ludwigshafen), Bertschi (CH-Dürrenäsch), Hoyer en VTG AG (Hamburg). Ze hebben filialen voor de Benelux Rail4Chem Benelux BV (in Rotterdam) en Rail4chem Transalp (Zwitserland). Rail4chem heeft 150 werknemers. Welke de arbeidsvoorwaarden zijn en of men zich aan alle voorziene veiligheidsregels houdt is nog zeer de vraag. Heb je daar meer info over? Stuur ons een mailtje of plaats een reactie.
Zie de persmededeling van Rail4chem (in het Engels PDF-bestand): http://www.rail4chem.com/fileadmin/images/pdfs/pdfs_eng/PR_rail4chem_05-06_car-carrying_trains_080506__GB_.pdf
Steeg je loon ook met 12 procent?
Loon Belgische topmanagers steeg voorbije jaar met 12 procent
Het loon van de directieleden van de Bel20-bedrijven is het voorbije jaar met 12 procent gestegen. Dat schrijft het financieel weekblad Trends in zijn editie die woensdag in de rekken ligt. Het gemiddelde directiecomité bestaat uit zeven leden. Allemaal samen kregen ze in 2005 circa 120 miljoen euro uitbetaald. InBev heeft met een kost van zeventien miljoen euro het duurste directiecomité. Het individuele directielid van een Bel20-bedrijf verdiende in 2005 gemiddeld 723.268 euro. Maar directieleden krijgen ook opties. Inclusief opties stijgt het gemiddelde loon van een lid van het directiecomité naar 1.128.449 euro, of bijna 23 procent meer dan zonder opties. De directieleden bij Fortis, Suez en Dexia zijn het best af. Barco en Omega Pharma bengelen onderaan het ranglijstje. Het gemiddeld variabel loon bedraagt 489.000 euro. Gérard Mestrallet van Suez is de CEO die met het hoogst variabel loon (1.428.408 euro) naar huis gaat.
(c) 23/05/2006 Belga
Het loon van de directieleden van de Bel20-bedrijven is het voorbije jaar met 12 procent gestegen. Dat schrijft het financieel weekblad Trends in zijn editie die woensdag in de rekken ligt. Het gemiddelde directiecomité bestaat uit zeven leden. Allemaal samen kregen ze in 2005 circa 120 miljoen euro uitbetaald. InBev heeft met een kost van zeventien miljoen euro het duurste directiecomité. Het individuele directielid van een Bel20-bedrijf verdiende in 2005 gemiddeld 723.268 euro. Maar directieleden krijgen ook opties. Inclusief opties stijgt het gemiddelde loon van een lid van het directiecomité naar 1.128.449 euro, of bijna 23 procent meer dan zonder opties. De directieleden bij Fortis, Suez en Dexia zijn het best af. Barco en Omega Pharma bengelen onderaan het ranglijstje. Het gemiddeld variabel loon bedraagt 489.000 euro. Gérard Mestrallet van Suez is de CEO die met het hoogst variabel loon (1.428.408 euro) naar huis gaat.
(c) 23/05/2006 Belga
lundi, mai 22, 2006
De NMBS groep meet met twee maten
Gelezen in de"Metro" van vandaag 22 mei 2006 in de rubriek "Zijspoor", waarin Herman Welter wekelijks een column schrijft over het openbaar vervoer.
Deze week heeft hij het over de toplonen bij de NMBS-bazen:
"Ook de baas van Infrabel, de beheerder van de spoorweginfrastructuur, kreeg een 2,9 op 3. Of de grootste onderscheiding met felicitaties van de jury. Dat rapportcijfer levert bovenop een riant vast jaarsalaris een forse bonus op. Toch moet de Infrabel-topman bijklussen om rond te komen. Zo zetelt hij onder meer in de raad van bestuur van De Post.
De 2,9 op 3,0 voor de topmannen roept vragen op bij de spoorvrouwen en-mannen. Voor hen gelden immers andere regels. Een chef mag zijn medewerkers slechts een gemiddeld rapportcijfer van 1,1 geven, al verdienen sommigen meer. Geeft de chef bijvoorbeeld iemand een 1,3, dan moet hij een andere medewerker 1 of 0,8 geven. Per dienst mag het gemiddelde van 1,1 niet worden overschreden. Op basis van het rapportcijfer wordt een premie toegekend, die onderdeel is van het loon. De NMBS-groep meet met twee maten.
hwelter@metrotime.be
Overgenomen uit Metro, 22/05/2006
Deze week heeft hij het over de toplonen bij de NMBS-bazen:
"Ook de baas van Infrabel, de beheerder van de spoorweginfrastructuur, kreeg een 2,9 op 3. Of de grootste onderscheiding met felicitaties van de jury. Dat rapportcijfer levert bovenop een riant vast jaarsalaris een forse bonus op. Toch moet de Infrabel-topman bijklussen om rond te komen. Zo zetelt hij onder meer in de raad van bestuur van De Post.
De 2,9 op 3,0 voor de topmannen roept vragen op bij de spoorvrouwen en-mannen. Voor hen gelden immers andere regels. Een chef mag zijn medewerkers slechts een gemiddeld rapportcijfer van 1,1 geven, al verdienen sommigen meer. Geeft de chef bijvoorbeeld iemand een 1,3, dan moet hij een andere medewerker 1 of 0,8 geven. Per dienst mag het gemiddelde van 1,1 niet worden overschreden. Op basis van het rapportcijfer wordt een premie toegekend, die onderdeel is van het loon. De NMBS-groep meet met twee maten.
hwelter@metrotime.be
Overgenomen uit Metro, 22/05/2006
dimanche, mai 21, 2006
Er rijden weer meer treinen met vertraging
8,1 procent van de binnenlandse treinen kwam in 2005 met meer dan vijf minuten vertraging aan in het station van bestemming. Dat blijkt uit een schriftelijke vraag van VLD-volksvertegenwoordiger Guido De Padt aan staatssecretaris van Overheidsbedrijven Bruno Tuybens (SP.A). Met 8,1 procent doet de NMBS het minder goed dan de voorgaande jaren, toen achtereenvolgens 7,4 procent (2002), 7,5 procent (2003) en 6,8 procent (2004) van de treinen een vertraging van meer dan 5 minuten hadden.
Onlangs bleek ook al uit het verslag van de ombudsman van de NMBS dat het aantal klachten over vertragingen in 2005 verdubbelde tegenover 2004.
Bron: VRT-nieuws.net, 14/05/2006
Onlangs bleek ook al uit het verslag van de ombudsman van de NMBS dat het aantal klachten over vertragingen in 2005 verdubbelde tegenover 2004.
Bron: VRT-nieuws.net, 14/05/2006
dimanche, mai 07, 2006
NMBS-top geeft zichzelf opslag
BRUSSEL - De NMBS heeft beslist de salarissen van de drie bestuurders van de groep te verhogen. Tijdens de raad van bestuur van 30 april heeft het renumeratiecomité de bestuurders een eerder genomen beslissing laten goedkeuren, over de toekenning van een 'tevredenheidsindex' van de drie afgevaardigde bestuurders en de leden van het directiecomité.
Dat schrijft La Libre Belgique donderdag. Marc Descheemaecker, de baas van de NMBS-operator, scoorde 2,9 op een schaal van 0 tot 3, Luc Lallemand (Infrabel) en Jannie Haek (NMBS Holding) zouden een gelijkaardige quotering bekomen hebben. Deze quotering bepaalt de verhoging van hun jaarlijkse premies. De verhoging van die premies en van het salaris als gevolg van de evaluaties zal voor tandengeknars zorgen binnen de groep, stelt La Libre Belgique. Er zou zelfs een vergadering gepland zijn bij staatssecretaris voor Overheidsbedrijven, Bruno Tuybens, maar die informatie is niet bevestigd.
De Standaard online, 04/05/2006
Dat schrijft La Libre Belgique donderdag. Marc Descheemaecker, de baas van de NMBS-operator, scoorde 2,9 op een schaal van 0 tot 3, Luc Lallemand (Infrabel) en Jannie Haek (NMBS Holding) zouden een gelijkaardige quotering bekomen hebben. Deze quotering bepaalt de verhoging van hun jaarlijkse premies. De verhoging van die premies en van het salaris als gevolg van de evaluaties zal voor tandengeknars zorgen binnen de groep, stelt La Libre Belgique. Er zou zelfs een vergadering gepland zijn bij staatssecretaris voor Overheidsbedrijven, Bruno Tuybens, maar die informatie is niet bevestigd.
De Standaard online, 04/05/2006
vendredi, mai 05, 2006
Commissie twijfelt aan NMBS-structuur
De Europese Commissie zal België binnenkort uitleg vragen over de holdingstructuur rond de spoorwegen. In een rapport van de commissaris van Transport, Jacques Barrot, over de uitvoering van de Europese wetgeving over de vrijmaking van het spoor heeft de Commissie vragen bij de structuur van de Belgische spoorwegen.
Met name zijn infrastructuur en uitbating van het vervoer weliswaar juridisch gescheiden maar toch bestaan er banden via de overkoepelende NMBS-holding. Commissiebronnen zeiden ons gisteren dat België daarover binnenkort om uitleg gevraagd zal worden, zonder dat er sprake is van een inbreukprocedure. België is overigens niet het enige land dat vragen in de bus zal krijgen.
In de conclusies van het rapport schrijft commissaris Barrot daarover dat de controleorganismen versterkt moeten worden en dat er een ,,reële onafhankelijkheid'' moet zijn. Voor de toegang tot het spoor moeten er strikte waarborgen zijn van neutraliteit. In het document staan criteria opgesomd op basis waarvan die onafhankelijkheid zal getoetst worden. Zo mag het leidinggevend personeel bij de infrastructuurbeheerder in het verleden geen
leidinggevende functie vervuld hebben bij de holding.
In het rapport staan ook cijfers over de evolutie van het spoorverkeer. In algemene termen luidt de conclusie dat de lidstaten waar de liberalisering het snelst gebeurde ook de beste score halen in het goederenspoorvervoer. Het Verenigd Koninkrijk en Duitsland halen voor de
periode 1995-2004 de beste cijfers met toenames van respectievelijk 70 en 24 procent. België haalt een stijging van 0,1 procent. Maar opvallend is dat Frankrijk, dat het langst treuzelde met de liberalisering, 17 procent verlies leed in die periode. Het passagiersvervoer steeg in totaal met ,,slechts'' 10 procent, minder dan het lucht- en wegvervoer.
Nog opvallend in het rapport is de expliciete opmerking die België krijgt in verband met het personeelsbeleid. De Commissie wijst erop dat bij de NMBS het grootste deel van het leidinggevend personeel tussen 40 en 55 jaar oud is. Binnen tien jaar zal dus 40 procent van hen met pensioen vertrekken. Die forse personeelswissel wordt overigens ook bij de Franse spoorwegmaatschappij gesignaleerd.
De Standaard Online, 04/05/2006
Met name zijn infrastructuur en uitbating van het vervoer weliswaar juridisch gescheiden maar toch bestaan er banden via de overkoepelende NMBS-holding. Commissiebronnen zeiden ons gisteren dat België daarover binnenkort om uitleg gevraagd zal worden, zonder dat er sprake is van een inbreukprocedure. België is overigens niet het enige land dat vragen in de bus zal krijgen.
In de conclusies van het rapport schrijft commissaris Barrot daarover dat de controleorganismen versterkt moeten worden en dat er een ,,reële onafhankelijkheid'' moet zijn. Voor de toegang tot het spoor moeten er strikte waarborgen zijn van neutraliteit. In het document staan criteria opgesomd op basis waarvan die onafhankelijkheid zal getoetst worden. Zo mag het leidinggevend personeel bij de infrastructuurbeheerder in het verleden geen
leidinggevende functie vervuld hebben bij de holding.
In het rapport staan ook cijfers over de evolutie van het spoorverkeer. In algemene termen luidt de conclusie dat de lidstaten waar de liberalisering het snelst gebeurde ook de beste score halen in het goederenspoorvervoer. Het Verenigd Koninkrijk en Duitsland halen voor de
periode 1995-2004 de beste cijfers met toenames van respectievelijk 70 en 24 procent. België haalt een stijging van 0,1 procent. Maar opvallend is dat Frankrijk, dat het langst treuzelde met de liberalisering, 17 procent verlies leed in die periode. Het passagiersvervoer steeg in totaal met ,,slechts'' 10 procent, minder dan het lucht- en wegvervoer.
Nog opvallend in het rapport is de expliciete opmerking die België krijgt in verband met het personeelsbeleid. De Commissie wijst erop dat bij de NMBS het grootste deel van het leidinggevend personeel tussen 40 en 55 jaar oud is. Binnen tien jaar zal dus 40 procent van hen met pensioen vertrekken. Die forse personeelswissel wordt overigens ook bij de Franse spoorwegmaatschappij gesignaleerd.
De Standaard Online, 04/05/2006
SNCB: salaires en hausse
A l'heure où les salaires des patrons font l'objet d'une attention particulière, la SNCB vient de décider d'augmenter ceux des trois dirigeants du groupe. En effet, lors du conseil d'administration du 30 avril, le comité de rémunération a fait passer aux administrateurs une
décision prise précédemment. Elle consiste en l'attribution d'un indice de satisfaction aux trois administrateurs délégués de la SNCB ainsi qu'aux membres du comité de direction. Sur une échelle de 0 à 3, Marc Descheemaecker, patron de l'opérateur SNCB aurait obtenu 2,9, Luc
Lallemand (Infrabel) et Jannie Haek (la holding SNCB) auraient obtenu une cote similaire. La cote sert de base au calcul de l'augmentation des primes annuelles que vont percevoir les trois pilotes du groupe SNCB.
Les trois patrons ne sont pas sur un pied d'égalité, car Marc Descheemaecker vient du privé (donc contrat privé), alors que Luc Lallemand est un agent statutaire de la SNCB. Même si sa compétence ne fait pas l'ombre d'un doute, Jannie Haek a joui d'une nomination politique. Il serait également un contractuel à la SNCB.
Selon certaines sources syndicales, il semble que c'est la publication des salaires des dirigeants d'autres entreprises publiques qui aurait donné des idées aux patrons de la SNCB. «Faux, les primes à la SNCB sont déterminées ainsi chaque année selon les coutumes de la maison», dément un haut responsable du groupe. Il n'empêche que l'augmentation de la prime et du salaire que vont entraîner les nouvelles évaluations font grincer des dents au sein du groupe. Une réunion aurait même eu lieu chez le secrétaire d'Etat aux entreprises publiques, Bruno Tuybens (SP.A) sur le sujet, mais personne n'a voulu confirmer l'information.
© La Libre Belgique 04/05/2006
décision prise précédemment. Elle consiste en l'attribution d'un indice de satisfaction aux trois administrateurs délégués de la SNCB ainsi qu'aux membres du comité de direction. Sur une échelle de 0 à 3, Marc Descheemaecker, patron de l'opérateur SNCB aurait obtenu 2,9, Luc
Lallemand (Infrabel) et Jannie Haek (la holding SNCB) auraient obtenu une cote similaire. La cote sert de base au calcul de l'augmentation des primes annuelles que vont percevoir les trois pilotes du groupe SNCB.
Les trois patrons ne sont pas sur un pied d'égalité, car Marc Descheemaecker vient du privé (donc contrat privé), alors que Luc Lallemand est un agent statutaire de la SNCB. Même si sa compétence ne fait pas l'ombre d'un doute, Jannie Haek a joui d'une nomination politique. Il serait également un contractuel à la SNCB.
Selon certaines sources syndicales, il semble que c'est la publication des salaires des dirigeants d'autres entreprises publiques qui aurait donné des idées aux patrons de la SNCB. «Faux, les primes à la SNCB sont déterminées ainsi chaque année selon les coutumes de la maison», dément un haut responsable du groupe. Il n'empêche que l'augmentation de la prime et du salaire que vont entraîner les nouvelles évaluations font grincer des dents au sein du groupe. Une réunion aurait même eu lieu chez le secrétaire d'Etat aux entreprises publiques, Bruno Tuybens (SP.A) sur le sujet, mais personne n'a voulu confirmer l'information.
© La Libre Belgique 04/05/2006
jeudi, mars 30, 2006
Grève des conducteurs du dépôts de Schaerbeek tôt ce matin du 30/03/06 jusqu'à10h00.
A l’annonce du détachement « forcé » de 22 agents, les moins anciens
dans le grade pour le dépôt de Charleroi, le dépôt de Schaerbeek a débrayé ce jeudi 30/03/06 au premier service tôt ce matin. L’ensemble du dépôt a suivi le mouvement, comprenant 40agents en service.
Cet après midi était convoqué une réunion d’urgence avec la direction. Les conducteurs sont contre tout détachement « forcé » ou « arbitraire ». De plus, 9 d'entre-eux sont néérlandophones, pour un dépôt francophone ! Un comble... Un conducteur habite même Dendermonde (près d'une heure et demie pour aller jusque Charleroi).
Rappelons que ce détachement fait suite à l’action des conducteurs de Charleroi du mois de février. Ceux-ci avaient protesté de l’accumulation catastrophique de repos, congés en retard et d’une gestion des ressources humaines ridicules (suppression de congés accordés afin d’aller aux cours de néerlandais…). La direction train de Charleroi ayant une réputation médiocre, on peut facilement comprendre le peu d’empressement de certains détachés à atterrir à Charleroi….
Une politique d’engagement statutaire de grande envergure (2500 en 2 ans et après ?) avec les moyens d’une formation de qualité (investissement dans des centres de formation actuellement voués à la débrouillardise !!) doit remplacer ces bidouillages n’ayant que des effets très limités et à très courts termes .
dans le grade pour le dépôt de Charleroi, le dépôt de Schaerbeek a débrayé ce jeudi 30/03/06 au premier service tôt ce matin. L’ensemble du dépôt a suivi le mouvement, comprenant 40agents en service.
Cet après midi était convoqué une réunion d’urgence avec la direction. Les conducteurs sont contre tout détachement « forcé » ou « arbitraire ». De plus, 9 d'entre-eux sont néérlandophones, pour un dépôt francophone ! Un comble... Un conducteur habite même Dendermonde (près d'une heure et demie pour aller jusque Charleroi).
Rappelons que ce détachement fait suite à l’action des conducteurs de Charleroi du mois de février. Ceux-ci avaient protesté de l’accumulation catastrophique de repos, congés en retard et d’une gestion des ressources humaines ridicules (suppression de congés accordés afin d’aller aux cours de néerlandais…). La direction train de Charleroi ayant une réputation médiocre, on peut facilement comprendre le peu d’empressement de certains détachés à atterrir à Charleroi….
Une politique d’engagement statutaire de grande envergure (2500 en 2 ans et après ?) avec les moyens d’une formation de qualité (investissement dans des centres de formation actuellement voués à la débrouillardise !!) doit remplacer ces bidouillages n’ayant que des effets très limités et à très courts termes .
jeudi, mars 16, 2006
Plus d'argent à la SNCB ? J'en doute...
Quelles que soient nos reventications en matière de bien être au travail, de sécurisation des lieux de travail (placement de caméras de surveillance, renfort de personnel pour les agents travaillant seuls la nuit, de doublement des prestations pour les accompagnateurs dans les trains à risques, d'augmentation de salaire) :
La réponse est : « on n'a plus d'argent, les budgets sont épuisés, les revendications sont trop onéreuses, etc... »
Pourtant, fin d'année 2005, la filiale Infrabel, pour fêter son premier anniversaire, a organisé sous la forme de concours un baptême de l'air pour 300 personnes qui pouvaient à leur tour inviter un participant au baptême et deux autres pour les festivités. Total : 1200 personnes.
Pour organiser cette méga-fiesta à la manière des grosses sociétés privées, Infrabel a loué 7 avions avec personnel, un hall d'aéroport, un marchand de glace, un marchand de hot-dogs, une buvette, un espace de jeux pour enfants, une distrubution d'objets de toute nature (bics, bonbons, sandwiches garnis,...etc).
Coût: plusieurs centaines de milliers d'euros.
Je trouve cela scandaleux pour un service public et vis-à-vis du personnel à qui on demande chaque jour des efforts de rentabilité (l'effort supporté par le personnel dans le cadre du premier plan d'entreprise 2004-2005 se chiffre à 260 millions d'€), de bonne gestion, de travailler dans des conditions anormales et/ou pour faire respecter le code du bien être au travail, on doit sans cesse menacer de faire des arrêts de travail pour obtenir ou faire respecter ses droits.
Conclusion : plutôt que de faire des fêtes comme des entreprises privées (très tape à l'oeil), utilisez cet argent pour améliorer le service public (l'accueil dans les gares et points d'arrêt, la protection du personnel et de la clientèle, l'augmentation du nombre de trains sur certaines lignes).
La réponse est : « on n'a plus d'argent, les budgets sont épuisés, les revendications sont trop onéreuses, etc... »
Pourtant, fin d'année 2005, la filiale Infrabel, pour fêter son premier anniversaire, a organisé sous la forme de concours un baptême de l'air pour 300 personnes qui pouvaient à leur tour inviter un participant au baptême et deux autres pour les festivités. Total : 1200 personnes.
Pour organiser cette méga-fiesta à la manière des grosses sociétés privées, Infrabel a loué 7 avions avec personnel, un hall d'aéroport, un marchand de glace, un marchand de hot-dogs, une buvette, un espace de jeux pour enfants, une distrubution d'objets de toute nature (bics, bonbons, sandwiches garnis,...etc).
Coût: plusieurs centaines de milliers d'euros.
Je trouve cela scandaleux pour un service public et vis-à-vis du personnel à qui on demande chaque jour des efforts de rentabilité (l'effort supporté par le personnel dans le cadre du premier plan d'entreprise 2004-2005 se chiffre à 260 millions d'€), de bonne gestion, de travailler dans des conditions anormales et/ou pour faire respecter le code du bien être au travail, on doit sans cesse menacer de faire des arrêts de travail pour obtenir ou faire respecter ses droits.
Conclusion : plutôt que de faire des fêtes comme des entreprises privées (très tape à l'oeil), utilisez cet argent pour améliorer le service public (l'accueil dans les gares et points d'arrêt, la protection du personnel et de la clientèle, l'augmentation du nombre de trains sur certaines lignes).
B-Cargo - Une restructuration, à quel prix ?
Lors de la restructuration Cargo, les agents travaillant dans les gares marchandises se sont vus versés à Cargo. Des grades multifonctionnels ont été créés ce qui devrait entraîner une diminution de 30% des effectifs.
Après calculs des besoins en personnel des responsables Cargo, seul 50% du personnel a reçu un poste dans le cadre. Les autres n'ont même pas accès aux cours d'opérateurs de terrain et font actuellement les bouche-trous en attendant que les agents du cadre Cargo réussissent leurs cours.
Cette situation a pour conséquence d'entraîner des rivalités entre agents et un manque de motivation du personnel. Sans compter l'incertitude qui règne sur les agents hors cadre pour lesquels la direction n'a toujours rien défini quand à leur réutilisation...
N'oublions pas non plus la restructuration New Passenger qui devrait montrer le bout de son nez dès juin 2006 et pour laquelle le plus grand flou règne encore.
A Réseau, on prévoit une recentralisation des gares, des cabines et des dispatchings.
Quelles en seront les conséquences pour les agents ?
Vont-ils encore payer le prix de ce regroupement ?
De combien le cadre sera-t-il diminué ?
Qu'adviendra-t-il des agents qui ne seront pas dans le cadre ?
Ceci n'est qu'une partie des questions que se posent la plupart des cheminots et pour lesquelles la direction SNCB ferait bien de répondre.
C'est donc dans un grand désordre pareil que le cheminot d'aujourd'hui doit travailler sans aucune garanties sur son avenir professionnel.
Après calculs des besoins en personnel des responsables Cargo, seul 50% du personnel a reçu un poste dans le cadre. Les autres n'ont même pas accès aux cours d'opérateurs de terrain et font actuellement les bouche-trous en attendant que les agents du cadre Cargo réussissent leurs cours.
Cette situation a pour conséquence d'entraîner des rivalités entre agents et un manque de motivation du personnel. Sans compter l'incertitude qui règne sur les agents hors cadre pour lesquels la direction n'a toujours rien défini quand à leur réutilisation...
N'oublions pas non plus la restructuration New Passenger qui devrait montrer le bout de son nez dès juin 2006 et pour laquelle le plus grand flou règne encore.
A Réseau, on prévoit une recentralisation des gares, des cabines et des dispatchings.
Quelles en seront les conséquences pour les agents ?
Vont-ils encore payer le prix de ce regroupement ?
De combien le cadre sera-t-il diminué ?
Qu'adviendra-t-il des agents qui ne seront pas dans le cadre ?
Ceci n'est qu'une partie des questions que se posent la plupart des cheminots et pour lesquelles la direction SNCB ferait bien de répondre.
C'est donc dans un grand désordre pareil que le cheminot d'aujourd'hui doit travailler sans aucune garanties sur son avenir professionnel.
samedi, mars 04, 2006
Grève du personnel cargo de Monceau et châtelet, La Louvière du jeudi 02/03/06 à 22.00 au vendredi 22.00
Accumulation de jours en retard de repos et congès....
Une direction de Cargo supprimant des services sans aucune concertation....
Certains recoivent des P6 (nouveau cadre de B-cargo fonctionnel à partir 01-01.07) et d'autres non....
Pour ces multiples raisons, le personnel cargo a entamé une grève de 24h du jeudi au vendredi03.03.06 à 22.00.
D'un côté des travailleurs palpant de plus en plus les conséquences d'une libéralisation du rail (polyvalence des nouveaux métiers, flexibilité des services), de l'autre la direction Cargo mettant en place une politique ferroviaire prenant sa seule source dans une rentabilité totale dictée par la libéralisation du rail.
Le nouveau cadre de 1690 personnes (sans compter les opérateurs de conduite) est l'exemple même d'un calcul d'une direction ne prenant pas en compte la charge réel de travail quotidienne et d'un cadre de remplacement permettant aux agents de récupérer leurs repos et congés dûs.
Le statut du cheminot et la libéralisation du rail ne sont pas conciliable. Un des deux devra céder.
Nous pouvons donc que nous associer au personnel cargo à toute action barrant la route à la libéralisation du rail.... Lundi prochain est programmée une nouvelle entrevue entre la direction cargo et le personnel.... Rebelote?
Une direction de Cargo supprimant des services sans aucune concertation....
Certains recoivent des P6 (nouveau cadre de B-cargo fonctionnel à partir 01-01.07) et d'autres non....
Pour ces multiples raisons, le personnel cargo a entamé une grève de 24h du jeudi au vendredi03.03.06 à 22.00.
D'un côté des travailleurs palpant de plus en plus les conséquences d'une libéralisation du rail (polyvalence des nouveaux métiers, flexibilité des services), de l'autre la direction Cargo mettant en place une politique ferroviaire prenant sa seule source dans une rentabilité totale dictée par la libéralisation du rail.
Le nouveau cadre de 1690 personnes (sans compter les opérateurs de conduite) est l'exemple même d'un calcul d'une direction ne prenant pas en compte la charge réel de travail quotidienne et d'un cadre de remplacement permettant aux agents de récupérer leurs repos et congés dûs.
Le statut du cheminot et la libéralisation du rail ne sont pas conciliable. Un des deux devra céder.
Nous pouvons donc que nous associer au personnel cargo à toute action barrant la route à la libéralisation du rail.... Lundi prochain est programmée une nouvelle entrevue entre la direction cargo et le personnel.... Rebelote?
jeudi, mars 02, 2006
Mercredi 8 mars a Zaventem: Manifestation pour une réelle protection des délégués
17.30 départ Kerkplein Zaventem (place de l'église)
Marche vers l'aéroport
19.00 Meeting et conférence de presse dans le hall des départs de l'aéroport.
Cette date est la date butoir à la réintégration de Mariah Vindevoghel (Ancienne déléguée de la Sabena "la blonde au gueulophone") d'après le jugement du 6février dernier au tribunal du Travail de Bruxelles. Cependant, le juge ne peut pas obliger Flightcare à la réintégrer.
C'est pourquoi cette manifestation organisée par la CSC a pour objectif une amélioration de la législation sur la protection des délégués syndicales de 91.
Marche vers l'aéroport
19.00 Meeting et conférence de presse dans le hall des départs de l'aéroport.
Cette date est la date butoir à la réintégration de Mariah Vindevoghel (Ancienne déléguée de la Sabena "la blonde au gueulophone") d'après le jugement du 6février dernier au tribunal du Travail de Bruxelles. Cependant, le juge ne peut pas obliger Flightcare à la réintégrer.
C'est pourquoi cette manifestation organisée par la CSC a pour objectif une amélioration de la législation sur la protection des délégués syndicales de 91.
mercredi, février 22, 2006
Et puis après ?? - New passenger, New Cargo, New Réseau...
Lorsque l’on rencontre des camarades et collègues cheminots, la discussion tourne toujours autour des même sujets.
On est loin de la guerre des chefs, reprise à toutes les sauces par la presse, car ce qui tracasse les cheminots, c’est l’après B-cargo et la venue des nouveaux nés New-Passengers et New-Réseau.
La mise en place de Cargo a été faites de bric et de broc et la poursuite de cette restructuration est des plus foireuse.
Multiplication à outrance de la flexibilité, modification des horaires de travail en fonction des heures de train.
Sécurité mise à mal à beaucoup d’endroits « Vous devez comprendre leur dit-on qu’il faut être concurrentiel, il en va de la survie de Cargo ».
Division entre collègues, puisqu’a court terme certains auront un poste définitif et d’autres resteront après les formations multifonctionelles sur le carreau, car il n’ont pas eu d’avis d’installation dans les nouveaux grades et se retrouveront donc en excédent.
Ce que l’on entend aussi dire régulièrement à Cargo, c’est que Cargo est un deuxième ABX, et qu’il ne faudrait pas grand chose pour passer au scénario SABENA.
Pour tous l’angoisse est présente, et la question que la plupart d’entre eux se pose, est
« Et puis après ? ».
Et oui et après ! Que vais-je devenir en tant que personnel excédentaire ? Que vais-je devenir si je suis dans un nouveau grade ? Vais-je pouvoir tenir le coup face à cet accroissement de travail ? Que fera-t-on de moi si demain je suis malade ?
Tant de questions qui restent aujourd’hui sans réponses, on leur dit : « Ne vous tracassez pas demain nous manquerons d’agents et puis si vous êtes de trop vous serez mis à la disposition du holding mais resterez à la SNCB, ……. »
Toutes ces affirmations, venant de la direction ne rassurent pas les cheminots, ce qui est sûr en tous cas, c’est que B-Cargo à été très mal préparé et surtout très mal négocié, même ceux qu’il l’on négocié hier sont d’accord aujourd’hui pour dire que l’on aurait dû s’y prendre autrement !
Et pourtant bien que le débat ne soit pas encore clos pour Cargo, la restructuration connaît couacs sur couacs, les erreurs monumentales et le non respect des règlements en vigueurs à la SNCB sont choses courantes.
Et pourtant dis-je, l’encre de ces accords mal ficelés n’est pas encore séchées que l’on nous prépare déjà à la venue de NEW-PASSENGERS et NEW-Réseau.
L’on pourrait croire que les erreurs de Cargo prises dans la précipitation auraient au moins fait réfléchir les grands stratèges de la SNCB, et bien non !
Toutes les informations venant des négociations actuelles en cours, menées à l’abris des regards indiscrets, ne laissent présager rien de bon.
On sait déjà que les zones géographiques de travail vont être revues et étendues, que de nouveaux grades en tout cas pour New-Passengers seront mis en place, qu’ils seront eux aussi multifonctionels, que l’on met d’abord en place une armée de petits chefs aux étages supérieurs, avec pour eux primes et indemnités, mais qu’il n’y aura pas d’argent pour le petit peuple au rez-de-chaussée.
L’on sait déjà également qu’il y aura un excédents d’agents dans les gares et qu’il faudra pour eux aussi voir comment on va demain pouvoir les utiliser.
Le surplus d’agents Cargo, et l’excédents des agents Voyageur et Réseau risque d’ici peu de faire un mélange détonant, suivront-il le chemin des prépensions, cela est plus qu’incertain suite au plan global du gouvernement, resteront-ils éternellement à charge de la SNCB permettez-moi d’en douter, au vu du déficit structurel existant, et de l’obligation pour 2008 d’avoir stabilisé les comptes.
D’ici fin 2007 la réponse devra être apportée et la seule possibilité de changement au scénario catastrophe, est une réaction vive et répétée de tous les cheminots, en bref, mobilisons, mobilisons, mobilisons, car seule l’action sera payante.
Alors Haeck , Lallemand où Demesmaecker, s’il y en avait deux de moins ce serait toujours ça de gagné.
On est loin de la guerre des chefs, reprise à toutes les sauces par la presse, car ce qui tracasse les cheminots, c’est l’après B-cargo et la venue des nouveaux nés New-Passengers et New-Réseau.
La mise en place de Cargo a été faites de bric et de broc et la poursuite de cette restructuration est des plus foireuse.
Multiplication à outrance de la flexibilité, modification des horaires de travail en fonction des heures de train.
Sécurité mise à mal à beaucoup d’endroits « Vous devez comprendre leur dit-on qu’il faut être concurrentiel, il en va de la survie de Cargo ».
Division entre collègues, puisqu’a court terme certains auront un poste définitif et d’autres resteront après les formations multifonctionelles sur le carreau, car il n’ont pas eu d’avis d’installation dans les nouveaux grades et se retrouveront donc en excédent.
Ce que l’on entend aussi dire régulièrement à Cargo, c’est que Cargo est un deuxième ABX, et qu’il ne faudrait pas grand chose pour passer au scénario SABENA.
Pour tous l’angoisse est présente, et la question que la plupart d’entre eux se pose, est
« Et puis après ? ».
Et oui et après ! Que vais-je devenir en tant que personnel excédentaire ? Que vais-je devenir si je suis dans un nouveau grade ? Vais-je pouvoir tenir le coup face à cet accroissement de travail ? Que fera-t-on de moi si demain je suis malade ?
Tant de questions qui restent aujourd’hui sans réponses, on leur dit : « Ne vous tracassez pas demain nous manquerons d’agents et puis si vous êtes de trop vous serez mis à la disposition du holding mais resterez à la SNCB, ……. »
Toutes ces affirmations, venant de la direction ne rassurent pas les cheminots, ce qui est sûr en tous cas, c’est que B-Cargo à été très mal préparé et surtout très mal négocié, même ceux qu’il l’on négocié hier sont d’accord aujourd’hui pour dire que l’on aurait dû s’y prendre autrement !
Et pourtant bien que le débat ne soit pas encore clos pour Cargo, la restructuration connaît couacs sur couacs, les erreurs monumentales et le non respect des règlements en vigueurs à la SNCB sont choses courantes.
Et pourtant dis-je, l’encre de ces accords mal ficelés n’est pas encore séchées que l’on nous prépare déjà à la venue de NEW-PASSENGERS et NEW-Réseau.
L’on pourrait croire que les erreurs de Cargo prises dans la précipitation auraient au moins fait réfléchir les grands stratèges de la SNCB, et bien non !
Toutes les informations venant des négociations actuelles en cours, menées à l’abris des regards indiscrets, ne laissent présager rien de bon.
On sait déjà que les zones géographiques de travail vont être revues et étendues, que de nouveaux grades en tout cas pour New-Passengers seront mis en place, qu’ils seront eux aussi multifonctionels, que l’on met d’abord en place une armée de petits chefs aux étages supérieurs, avec pour eux primes et indemnités, mais qu’il n’y aura pas d’argent pour le petit peuple au rez-de-chaussée.
L’on sait déjà également qu’il y aura un excédents d’agents dans les gares et qu’il faudra pour eux aussi voir comment on va demain pouvoir les utiliser.
Le surplus d’agents Cargo, et l’excédents des agents Voyageur et Réseau risque d’ici peu de faire un mélange détonant, suivront-il le chemin des prépensions, cela est plus qu’incertain suite au plan global du gouvernement, resteront-ils éternellement à charge de la SNCB permettez-moi d’en douter, au vu du déficit structurel existant, et de l’obligation pour 2008 d’avoir stabilisé les comptes.
D’ici fin 2007 la réponse devra être apportée et la seule possibilité de changement au scénario catastrophe, est une réaction vive et répétée de tous les cheminots, en bref, mobilisons, mobilisons, mobilisons, car seule l’action sera payante.
Alors Haeck , Lallemand où Demesmaecker, s’il y en avait deux de moins ce serait toujours ça de gagné.
132-5049503-15: Apportez votre soutien aux dockers emprissonnés
Ce fond de solidarité est un compte du front commun syndical. Mentionnez "Solidarité Strasbourg" comme référence. Plusieurs dockers belges sont encore emprissonnés après avoir été manifesté à stasbourg le 16 janvier dernier.
Les dockers européens ont vaincu deux fois notre grande europe des banques. Par deux fois, ils ont repoussés les directives européennes "Port Package 1-2". C'est le couronement d'un travail de 5ans où les dockers de toute l'europe accompagnés de leur syndicat n'ont pas cessé de répéter la même revendications:"Le rejet complet des directives".
Nous sommes donc deux fois concernés: en tant que travailleur et de plus cheminot, secteur où la dimension européenne est tout aussi incontournables.
Les dockers européens ont vaincu deux fois notre grande europe des banques. Par deux fois, ils ont repoussés les directives européennes "Port Package 1-2". C'est le couronement d'un travail de 5ans où les dockers de toute l'europe accompagnés de leur syndicat n'ont pas cessé de répéter la même revendications:"Le rejet complet des directives".
Nous sommes donc deux fois concernés: en tant que travailleur et de plus cheminot, secteur où la dimension européenne est tout aussi incontournables.
lundi, février 20, 2006
Staking machinisten Charleroi
CHARLEROI - Het ziet er niet naar uit dat de stakingsactie in het station van Charleroi zal uitbreiden naar andere stelplaatsen. De actie, die ook in Brussel voelbaar is, zou 24 uur duren. Aanstaande vrijdag zullen directie en personeel vergaderen. De staking gaat over personeelstekort, treinbestuurders die verlofdagen niet kunnen opnemen en opleidingen. In het station van Charleroi-Zuid is maandagmorgen een personeelsvergadering van de treinbestuurders gehouden, als gevolg van de staking die om 4 uur 's ochtends uitbrak. De staking zorgt voor aanzienlijke hinder op de lijnen Charleroi-Brussel, Charleroi-Namen en aanverwante lijnen zoals die tussen Brussel en Antwerpen. Sommige treinen werden afgelast. Andere moeten bijkomende haltes houden om gestrande reizigers van afgelaste treinen op te pikken.
(c) BELGA, 20/02/2006
(c) BELGA, 20/02/2006
Rail perturbé à Charleroi
Grève surprise des conducteurs de train du dépôt de Charleroi ce lundi, ce qui provoque pas mal de perturbations sur le rail, principalemententre Charleroi et Bruxelles mais aussi, par ricochet, sur la dorsalewallonne où les trains partent avec du retard.
Les syndicats devaient rencontrer la direction vendredi, mais les cheminots ont perdu patience. Du coup, les conducteurs de train de la gare de Charleroi-Sud ont débrayé à 4 heures ce lundi.
Dans un an, 40 conducteurs carolos devraient partir à la retraite. Des départs qui, selon les syndicats, ne feront que renforcer un problème d'effectif de plus en plus criant. Un problème qui empêche déjà le personnel de prendre tous ses congés. En matinée, les conducteurs ont rencontré le responsable local de la SNCB. Mais c'est à Bruxelles, au niveau national, que le dossier devrait être examiné dans l’après-midi, en conseil de direction. A l’heure actuelle, la situation semble toujours bien bloquée et les perturbations se poursuivent sur les deux lignes principalement touchées, Charleroi-Bruxelles et Charleroi-Namur. Selon le syndicat socialiste, le mouvement ne devrait pas dans l'immédiat s'étendre à d'autres lignes ou à d'autres gares du pays. Pourtant, le problème d'effectif n'est pas propre à Charleroi. Il y a 15 jours, les conducteurs brugeois avaient déjà arrêté le travail. Si la direction dela SNCB ne fait pas un geste, les syndicats estiment que la situation pourrait alors rapidement être critique dans d'autres dépôts wallons.
Les syndicats devaient rencontrer la direction vendredi, mais les cheminots ont perdu patience. Du coup, les conducteurs de train de la gare de Charleroi-Sud ont débrayé à 4 heures ce lundi.
Dans un an, 40 conducteurs carolos devraient partir à la retraite. Des départs qui, selon les syndicats, ne feront que renforcer un problème d'effectif de plus en plus criant. Un problème qui empêche déjà le personnel de prendre tous ses congés. En matinée, les conducteurs ont rencontré le responsable local de la SNCB. Mais c'est à Bruxelles, au niveau national, que le dossier devrait être examiné dans l’après-midi, en conseil de direction. A l’heure actuelle, la situation semble toujours bien bloquée et les perturbations se poursuivent sur les deux lignes principalement touchées, Charleroi-Bruxelles et Charleroi-Namur. Selon le syndicat socialiste, le mouvement ne devrait pas dans l'immédiat s'étendre à d'autres lignes ou à d'autres gares du pays. Pourtant, le problème d'effectif n'est pas propre à Charleroi. Il y a 15 jours, les conducteurs brugeois avaient déjà arrêté le travail. Si la direction dela SNCB ne fait pas un geste, les syndicats estiment que la situation pourrait alors rapidement être critique dans d'autres dépôts wallons.
mercredi, février 01, 2006
Les dessous de la grève des accompagnateurs à Gand Saint-Pierre
Depuis ce 31 janvier, les accompagnateurs du dépôts de Gand-Saint-Pierre sont en grève. Il s'agirait d'un problème de 3 personnes détachées de Bruxelles-Midi à Gand Saint-Pierre.
En vérité, le problème est bien plus grave.
Il y a quelques telmps, le dépôt de Bruxelles-Midi avait autorisé ces 3 agents à quitter le dépôt pour Gand, pour se rapprocher de leur domicile.
Aujourd'hui, le manque d'agent est tellement criant, que le dépôt de Bruxelles-Midi a du rappeler ces agents.
A Bruxelles, 20 personnes manquent pour remplir le cadres. Les agents sont souvent obligés de prester 7 jours d'affilée, suivi d'un seul jour de repos.
Les gens sont fatigués et cela se ressent au travail où les agressions sont alors plus régulières, mais le danger est aussi présent sur le chemins du travail. En automne, 5 conducteurs et 2 accompagnateurs de Bruxelles ont subi des accidents de la route en retournant chez eux... La situation devient criminelle. Un des accompagnateur rappelé à Bruxelles habite La Panne...
Lors d'une entrevue en décembre avec Rita Moosen, les agents avaient vivement dénoncé la situation.
Réponse : nous engagerons de nouveau en 2007...
Depuis de quelques années, le sous-effectifs est général à la SNCB.
Le ras-le-bol et le manque d'effectifs est criant à la SNCB. Le dépôt de Gand en est encore un bel exemple...
En vérité, le problème est bien plus grave.
Il y a quelques telmps, le dépôt de Bruxelles-Midi avait autorisé ces 3 agents à quitter le dépôt pour Gand, pour se rapprocher de leur domicile.
Aujourd'hui, le manque d'agent est tellement criant, que le dépôt de Bruxelles-Midi a du rappeler ces agents.
A Bruxelles, 20 personnes manquent pour remplir le cadres. Les agents sont souvent obligés de prester 7 jours d'affilée, suivi d'un seul jour de repos.
Les gens sont fatigués et cela se ressent au travail où les agressions sont alors plus régulières, mais le danger est aussi présent sur le chemins du travail. En automne, 5 conducteurs et 2 accompagnateurs de Bruxelles ont subi des accidents de la route en retournant chez eux... La situation devient criminelle. Un des accompagnateur rappelé à Bruxelles habite La Panne...
Lors d'une entrevue en décembre avec Rita Moosen, les agents avaient vivement dénoncé la situation.
Réponse : nous engagerons de nouveau en 2007...
Depuis de quelques années, le sous-effectifs est général à la SNCB.
Le ras-le-bol et le manque d'effectifs est criant à la SNCB. Le dépôt de Gand en est encore un bel exemple...
Reibel après DLC: la période des soldes ne fait que commencer au chemins de fer...
Depuis la division de la SNCB, Infrabel s'occupe maintenant de délivrer des licences pour les opérateurs privés désirant faire rouler des trains de marchandises.
Aujourd'hui, de nombreux opérateurs privés se pressent pour obtenir la licence sur le territoire belge comme Rail4Chem, EWS, Connex Cargo, Trainsport et Reibel. L'opérateur DLC a la licence depuis quelques mois, et déjà les conducteurs qui s'étaient laissés séduire reviennent sur leur décision. Beaucoup reviennent à la SNCB tant les conditions de travail sont médiocres. Les conducteurs doivent régulièrement utiliser leur propre voiture pour aller chercher un train à quelques centaines de kilomètres de chez eux. Au mois d'octobre, la plupart avaient presté le nombre d'heure maximal annuel, mais contunaient à rouler.
Selon le Standaard, Reibel, un nouvel opérateur a obtenu la licence pour la Belgique. Quelle est cette société ?
Sur leur site internet (www.reibel.be), la société a de nombreux mérites. Reibel se vante d'être présent sur tous les terrains. Depuis 1985, Reibel répond toujours présents aux « aides humanitaires » dans les pays en guerre (Afghanistan, etc.). Elle est également cotée en bourse sur Euronext.
Pour combien de temps encore une nouvelle partie de cheminots devront donc se vendre à des marchands de canons et travailleront pour faire gagner plus d'argent encore aux boursicoteurs européens ?
Si Cargo représente une partie de la SNCB, la logique actuelle ne s'arrête pas à ce secteur. En effet, sur le site internet de l'Unio Européenne*, sur les documents de licences officielles se trouvent déjà 2 cases à cocher: « cargo », ou « voyageurs ». Sur papier, tout est déjà prêt pour que ce qui se passe au niveau du trafic de marchandises se passe également pour les trains de voyageurs.
* www.eu.int/comm/transport/rail/countries/be/doc/be-dlc2-fr.pdf
Aujourd'hui, de nombreux opérateurs privés se pressent pour obtenir la licence sur le territoire belge comme Rail4Chem, EWS, Connex Cargo, Trainsport et Reibel. L'opérateur DLC a la licence depuis quelques mois, et déjà les conducteurs qui s'étaient laissés séduire reviennent sur leur décision. Beaucoup reviennent à la SNCB tant les conditions de travail sont médiocres. Les conducteurs doivent régulièrement utiliser leur propre voiture pour aller chercher un train à quelques centaines de kilomètres de chez eux. Au mois d'octobre, la plupart avaient presté le nombre d'heure maximal annuel, mais contunaient à rouler.
Selon le Standaard, Reibel, un nouvel opérateur a obtenu la licence pour la Belgique. Quelle est cette société ?
Sur leur site internet (www.reibel.be), la société a de nombreux mérites. Reibel se vante d'être présent sur tous les terrains. Depuis 1985, Reibel répond toujours présents aux « aides humanitaires » dans les pays en guerre (Afghanistan, etc.). Elle est également cotée en bourse sur Euronext.
Pour combien de temps encore une nouvelle partie de cheminots devront donc se vendre à des marchands de canons et travailleront pour faire gagner plus d'argent encore aux boursicoteurs européens ?
Si Cargo représente une partie de la SNCB, la logique actuelle ne s'arrête pas à ce secteur. En effet, sur le site internet de l'Unio Européenne*, sur les documents de licences officielles se trouvent déjà 2 cases à cocher: « cargo », ou « voyageurs ». Sur papier, tout est déjà prêt pour que ce qui se passe au niveau du trafic de marchandises se passe également pour les trains de voyageurs.
* www.eu.int/comm/transport/rail/countries/be/doc/be-dlc2-fr.pdf
Plan Move, une ligne directrice
SNCB, Plan Move: une ligne directrice
Le plan Move est sorti depuis plusieurs mois maintenant. Plus que jamais, ce plan est d'actualité et nous permet de comprendre les changements à la SNCB.C'est la raison qui nous pousse à le publier.Ce 1er février, les tarifs ont à nouveau augmenté, en même temps, les cheminots sont de moins en moins... pour le même travail.
Vous trouverez ce plan, ainsi que les commentaires en annexe.
http://www.indymedia.be/files/plan%20move_0.ppt
Le plan Move est sorti depuis plusieurs mois maintenant. Plus que jamais, ce plan est d'actualité et nous permet de comprendre les changements à la SNCB.C'est la raison qui nous pousse à le publier.Ce 1er février, les tarifs ont à nouveau augmenté, en même temps, les cheminots sont de moins en moins... pour le même travail.
Vous trouverez ce plan, ainsi que les commentaires en annexe.
http://www.indymedia.be/files/plan%20move_0.ppt
mardi, janvier 31, 2006
Gent: spontane staking treinbegeleiders
In Gent St.-Pieters brak deze morgen (dinsdag 31 januari) een spontane staking uit onder de treinbegeleiders. De aanleiding was het intrekken door de directie van een drietal detacheringen. Die drie personen zouden vanaf 1 februari terug moeten gaan werken in Brussel-Zuid. Zij zagen dit helemaal niet zitten, temeer één van de drie in De Panne woont.
Oorspronkelijk zouden vijf detacheringen ingetrokken worden, na veel druk van het personeel werden het er maar drie. Maar een groot deel van de treinbegeleiders eistte dat iedereen in het depot Gent kon blijven. Temeer daar het familiaal leven van de treinbegeleiders al zwaar genoeg is door de wisselende uren, als je er dan nog eens bovenop nog verder van huis - West-Vlaanderen woont - dan schiet er van je sociaal leven niks meer over. Bovendien zou het wegtrekken van drie mensen ook betekenen dat er minder verlof kan gegeven worden.
Na een hele dag staken - met de steun van de erkende organisaties - en na veel onderhandelen, beloofde - rond 20u deze avond - Leo Pardon, dat de intrekking van de drie detacheringen tijdelijk uitgesteld wordt tot maandag 6 februari. Ondertussen gaan de beide vakbonden en een delegatie van het personeel in de komende dagen rond de tafel zitten om een oplossing te zoeken.
Oorspronkelijk zouden vijf detacheringen ingetrokken worden, na veel druk van het personeel werden het er maar drie. Maar een groot deel van de treinbegeleiders eistte dat iedereen in het depot Gent kon blijven. Temeer daar het familiaal leven van de treinbegeleiders al zwaar genoeg is door de wisselende uren, als je er dan nog eens bovenop nog verder van huis - West-Vlaanderen woont - dan schiet er van je sociaal leven niks meer over. Bovendien zou het wegtrekken van drie mensen ook betekenen dat er minder verlof kan gegeven worden.
Na een hele dag staken - met de steun van de erkende organisaties - en na veel onderhandelen, beloofde - rond 20u deze avond - Leo Pardon, dat de intrekking van de drie detacheringen tijdelijk uitgesteld wordt tot maandag 6 februari. Ondertussen gaan de beide vakbonden en een delegatie van het personeel in de komende dagen rond de tafel zitten om een oplossing te zoeken.
lundi, janvier 30, 2006
Honderden pendelaars vast op stilstaande trein
BRUSSEL - Omstreeks 9 uur heeft de trein vanuit Brugge richting Gent door een technisch defect meer dan een uur stilgestaan aan de vertakking Meulenwijk iets voorbij het treinstation Gent-Sint-Pieters. Dat meldt Frédéric Petit, woordvoerder van Infrabel, de infrastructuurbeheerder van de Belgische spoorwegen.Door problemen kreeg de trein geen tractie meer. Het rijtuig stond daardoor drie kwartier stil op de sporen. ,,Aanvankelijk wou men het defecte rijtuig met een speciale diesellocomotief terugslepen naar het station Gent-Sint-Pieters, maar door een technisch defect was dat niet mogelijk'', aldus Petit. Omstreeks 10 uur werd daarom beslist om een andere reizigerstrein op te vorderen. De 500 gestrande reizigers konden ter plaatse overstappen en met die trein verder naar hun bestemming reizen. ,,Tijdens het incident is de verwarming en verlichting in de trein slechts in enkele wagons uitgevallen. De inzittenden van die wagons zijn overgestapt in een andere wagon'', benadrukt Petit nog. Het defect veroorzaakte geen noemenswaardige problemen voor het andere treinverkeer. De lege defecte trein zal later worden weggesleept. Nog op maandagochtend, omstreeks 7 uur, was er door een technische storing op de bovenleiding in Denderleeuw een vertraging van ongeveer tien minuten op de spoorlijn van Brussel naar de kust. Omstreeks 9 uur waren de problemen daar opgelost.
Bron: Website De Standaard, 30/01/2006
Bron: Website De Standaard, 30/01/2006
samedi, janvier 28, 2006
la ponctualité des trains est en recul mais reste ds la norme
BRUXELLES 20/01 (BELGA) La ponctualité des trains circulant sur le réseau ferroviaire belge a légèrement reculé l'année dernière, mais elle reste conforme à la moyenne des cinq dernières années et supérieure à celle des pays voisins. En 2005, 94,8 pc des trains sont arrivés à l'heure ou avec un léger retard (de 5 minutes maximum), soit 0,9 pc de moins que l'année précédente. Ce chiffre reste néanmoins "dans la moyenne des 5 dernières années, à savoir 94,8 pc", précise Infrabel dans un communiqué. Sans neutralisation des circonstances exceptionnelles, 91,9 pc des trains étaient à l'heure l'année dernière, soit 1,3 pc de moins qu'en 1994. Selon Infrabel, 29,6 pc des retards sont imputables à l'infrastructure ferroviaire (30 pc en 2004) et 43,0 pc (contre 42 pc) à l'exploitation ferroviaire. Enfin, 25,7 pc des retards (contre 24,8 pc en 2004) sont dus à des causes externes au groupe SNCB (accidents de personnes, réseaux voisins, etc.). Autre explication avancée par la société publique: l'ampleur des travaux et investissements réalisés par Infrabel en vue de moderniser le réseau ainsi que des faits exceptionnels comme les fortes chaleurs du mois de juin et l'hiver précoce de novembre. (GFR)
Les tarifs de la SNCB parmi les plus chers
BRUXELLES 25/01 (BELGA) = Le rail belge n'est pas si bon marché si on compare la distance que l'on peut parcourir avec 15 euros, pointe mercredi "Le Soir". En Belgique, c'est 129 kilomètres: seuls quatre pays européens font moins bien. La SNCB s'en sort mieux pour les distances plus courtes. La SNCB ne conteste pas mais précise qu'il s'agit d'une comparaison sur le tarif plein et qu'elle n'a vendu en 2004 que 20 millions de tickets au tarif plein sur un total de 163 millions. (NLE)
Source: Canal Z, 25/01/2006
Source: Canal Z, 25/01/2006
Train fantôme à la SNCB
Suite probablement à des problèmes de frein, des wagons vides ont dévalé de Bruxelles-Quartier Léopold à Schuman. Il y a un blessé
BRUXELLES Un accident de train qui a causé un blessé léger a endommagé vendredi les caténaires des lignes de train partant de la gare Bruxelles-Schuman, a-t-on appris de sources diverses. La circulation des trains a été arrêté et Infrabel, la société gestionnaire du réseau ferroviaire, craint des embarras de circulation pour la soirée. L'accident s'est déroulé vers 17h15. Suite probablement à des problèmes de frein, des wagons vides qui devaient être rassemblés pour former un convoi pour le Treski, à destination des destinations neige de la SNCB, ont dévalé de la gare de Bruxelles-Quartier Léopold à celle de Schuman. Ils se sont retrouvés sur une voie sans issue de la gare et sont montés sur le quai. Un navetteur qui attendait sur ce quai aurait été blessé par la chute des câbles. Infrabel examinait vendredi en début de soirée comment dévier la circulation des trains ou installer un service de navette par bus.
Source: DHNet, 27/01/2006
BRUXELLES Un accident de train qui a causé un blessé léger a endommagé vendredi les caténaires des lignes de train partant de la gare Bruxelles-Schuman, a-t-on appris de sources diverses. La circulation des trains a été arrêté et Infrabel, la société gestionnaire du réseau ferroviaire, craint des embarras de circulation pour la soirée. L'accident s'est déroulé vers 17h15. Suite probablement à des problèmes de frein, des wagons vides qui devaient être rassemblés pour former un convoi pour le Treski, à destination des destinations neige de la SNCB, ont dévalé de la gare de Bruxelles-Quartier Léopold à celle de Schuman. Ils se sont retrouvés sur une voie sans issue de la gare et sont montés sur le quai. Un navetteur qui attendait sur ce quai aurait été blessé par la chute des câbles. Infrabel examinait vendredi en début de soirée comment dévier la circulation des trains ou installer un service de navette par bus.
Source: DHNet, 27/01/2006
Trein vaker te laat
Nadat de treinen in ons land jarenlang almaar stipter waren geworden, is het er vorig jaar op achteruitgegaan. Uit cijfers van Infrabel blijkt dat in 2005 94,8 procent van de treinen stipt reed, tegenover 95,7 procent een jaar tevoren. Met ,,stipt'' bedoelt Infrabel overigens dat een trein niet meer dan 5 minuten vertraging had. De meest vertraagde lijn van België is de lijn Antwerpen-Brussel, waar vorig jaar slechts 88,3 procent van de treinen stipt reed.
Bron: De Standaard Online, 24/01/2006
Bron: De Standaard Online, 24/01/2006
Drie passagierstreinen weggesleept na ongeval in Brussel-Schuman
Tussen treinstation Brussel-Schuman, waar vrijdagavond een ongeval is gebeurd, en Brussel-Noord, worden momenteel drie reizigerstreinen weggesleept tot in het Noordstation. Daar worden de reizigers opgevangen. Dat meldt Frédéric Petit, woordvoerder van Infrabel, de infrastructuurbeheerder van het Belgische spoornet.Geen paniekOm 17.15 uur vrijdagavond ging in Brussel vlak voor Brussel-Schuman een leeg treinstel vanzelf aan het rollen. Het reed zonder te remmen het Schuman-station binnen en beschadigde de bovenleiding. Op de perrons raakten twee personen die zich uit de voeten wilden maken, licht gewond. Een van hen struikelde, een tweede liep tegen een paal. "Van paniek was evenwel geen sprake," zegt Petit. "De oorzaak van het ongeval is nog niet duidelijk. Mogelijk was er een probleem met de remmen."Drie reizigerstreinen tussen Brussel-Schuman en Brussel-Noord moesten uit veiligheid en omdat er geen stroom meer zat op de bovenleiding, stoppen. Ze worden momenteel weggesleept met een locomotief tot in Brussel-Noord. "Daar is opvang voorzien en kunnen de passagiers een nieuwe aansluiting vinden", aldus de Infrabel-woordvoerder.Tussen Brussel-Schuman en Brussel Luxemburg wordt het verkeer omgeleid via de lijnen Brussel-Leuven en Brussel-Ottignies. Infrabel raadt reizigers aan de metro te nemen tot Merode en daar over te stappen op de trein Etterbeek-Schaarbeek.Vrijdagavond is geen treinverkeer in Brussel-Schuman meer mogelijk. Er is veel schade aan de bovenleiding en de seinen. De diensten van Infrabel zijn ter plaatse om de schade op te meten en de oorzaak te onderzoeken. "We hopen zaterdagochtend zo vlug mogelijk te kunnen starten met de herstellingswerken", aldus nog Petit.
Bron website HLN, 27/01/2006
Bron website HLN, 27/01/2006
jeudi, janvier 12, 2006
Personeelsleden NMBS dronken mogelijk koffie met muizengif
Negen werknemers van de spoorwegmaatschappij NMBS hebben mogelijk vergiftigde koffie gedronken. Ze werken op een informaticadienst aan de Hallepoortlaan in Brussel. De NMBS bevestigde het nieuws nadat VTM het had bekendgemaakt.Vanochtend ontdekte een personeelslid dat er korrels lagen in het koffiezetpparaat van het bureau, zegt woordvoerster Leen Uytterhoeven van de NMBS. De verantwoordelijke werd verwittigd, want de korrels leken verdacht veel op het muizengif dat ook in de lokalen gestrooid was.
Een bedrijfsarts liet de negen betrokken werknemers naar het ziekenhuis gaan voor een bloedafname. ,,Morgen zijn de analyses bekend'', aldus Uytterhoeven. Het staat volgens haar vast dat de betrokkenen al dagen koffie drinken die in aanraking is geweest met het gif en die dus mogelijk vergiftigd is. ,,Uiterlijke symptomen waren er niet, maar dat wil niets zeggen''.
De politie kwam ter plaatse en stelde een proces-verbaal op. Over het motief tast de directie in het duister. Er zijn geen aanwijzingen dat het om een vergeldingsactie zou gaan, zegt Uytterhoeven, maar de politie onderzoekt toch ook die piste. ,,Wij nemen dit zeer ernstig'', alsnog de NMBS-woordvoerster.
(c) De Standaard Online, 12/01/2006
Een bedrijfsarts liet de negen betrokken werknemers naar het ziekenhuis gaan voor een bloedafname. ,,Morgen zijn de analyses bekend'', aldus Uytterhoeven. Het staat volgens haar vast dat de betrokkenen al dagen koffie drinken die in aanraking is geweest met het gif en die dus mogelijk vergiftigd is. ,,Uiterlijke symptomen waren er niet, maar dat wil niets zeggen''.
De politie kwam ter plaatse en stelde een proces-verbaal op. Over het motief tast de directie in het duister. Er zijn geen aanwijzingen dat het om een vergeldingsactie zou gaan, zegt Uytterhoeven, maar de politie onderzoekt toch ook die piste. ,,Wij nemen dit zeer ernstig'', alsnog de NMBS-woordvoerster.
(c) De Standaard Online, 12/01/2006
Begroting in evenwicht dankzij pensioenen
De Federale Regering presenteerde onlangs haar financieel rapport voor het jaar 2005 dat net is afgelopen. Dankzij de truuk van de overname van de pensioenen van de NMBS en van het Antwerps Havenbedrijf, heeft de regering 2005 zelfs kunnen afsluiten met een klein overschotje. Had ze die pensioenen niet overgenomen, dan was er een gaatje in de bergoting geweest.
Het is niet de eerste keer dat de regering dit truukje toepast: Belgacom, BIAC en anderen passeerden in het verleden reeds de revue. Ook in het buitenland gebeuren gelijkaardige dingen. Meestal is dit een voorbode van een mogelijk al dan niet gedeeltelijke privatisering of een afsplitsing van de meest rendabele delen.
Chaos bij Cargo?!?
Hoeven we nog te herhalen dat de NMBS ondertussen ook in drie is gesplitst? En dat elk deel zichzelf verder aan het opdelen is? Iedereen die bij B-Cargo werkt zal het al wel gemerkt hebben. B-Cargo wil alles alleen doen: kwestie van te tonen dat men efficiënt is. Sinds Cargo het alleen en beter wil doen, is het goederenverkeer per trein nog chaotischer als voordien.
Heb je zelf een getuigenis hierover? Aarzel niet ons te schrijven!
Het is niet de eerste keer dat de regering dit truukje toepast: Belgacom, BIAC en anderen passeerden in het verleden reeds de revue. Ook in het buitenland gebeuren gelijkaardige dingen. Meestal is dit een voorbode van een mogelijk al dan niet gedeeltelijke privatisering of een afsplitsing van de meest rendabele delen.
Chaos bij Cargo?!?
Hoeven we nog te herhalen dat de NMBS ondertussen ook in drie is gesplitst? En dat elk deel zichzelf verder aan het opdelen is? Iedereen die bij B-Cargo werkt zal het al wel gemerkt hebben. B-Cargo wil alles alleen doen: kwestie van te tonen dat men efficiënt is. Sinds Cargo het alleen en beter wil doen, is het goederenverkeer per trein nog chaotischer als voordien.
Heb je zelf een getuigenis hierover? Aarzel niet ons te schrijven!
mercredi, janvier 11, 2006
Nog een aanvraag voor een nieuwe licentie
Volgens Tijdnet.be en volgens een persbericht op Euronext heeft het bedrijf Reibel NV een aanvraag ingediend voor een licentie als Spoorwegoperator bij de Overheidsdienst "Mobiliteit en Transport".
Lees het nieuwsbericht hieronder:
"(tijd-nieuwslijn) - Het logistiek- en energiebedrijf Reibel heeft bij de Federale Overheidsdienst Mobiliteit en Vervoer een aanvraag voor een licentie als spoorwegoperator ingediend. Dat blijkt uit een persbericht dat via Euronext Brussel is verspreid.
(Het wegverkeer verminderen vermindert ook de vervuiling. Dat heeft Reibel NV ertoe aangezet in ruimere mate deel te nemen aan multimodaal en minder vervuilend verkeer', staat te lezen in het bericht.
10:33 - 11/01/2006 Copyright © Tijdnet"
De zoveelste operator die een licentie aanvraagt. De concurrentie kan niet op!!!
Lees het nieuwsbericht hieronder:
"(tijd-nieuwslijn) - Het logistiek- en energiebedrijf Reibel heeft bij de Federale Overheidsdienst Mobiliteit en Vervoer een aanvraag voor een licentie als spoorwegoperator ingediend. Dat blijkt uit een persbericht dat via Euronext Brussel is verspreid.
(Het wegverkeer verminderen vermindert ook de vervuiling. Dat heeft Reibel NV ertoe aangezet in ruimere mate deel te nemen aan multimodaal en minder vervuilend verkeer', staat te lezen in het bericht.
10:33 - 11/01/2006 Copyright © Tijdnet"
De zoveelste operator die een licentie aanvraagt. De concurrentie kan niet op!!!
mercredi, janvier 04, 2006
Nieuwe licentie voor Rail4chem?
NMBS-dochter Infrabel schijnt eind 2005 nog snel een licentie te hebben afgeleverd voor het privé-spoorwegbedrijf Rail4chem. Ze zouden in 2006 beginnen rijden op de trajecten Zeebrugge naar Montzen (via Gent), Genk-Essen en Montzen-Geel.
Rail4chem is opgericht door bedrijven uit de chemische industrie (Duitsland) waaronder BASF, Hoyer, Bertschi en VTG Lehnkering. Sedert begin 2005 hebben ze ook een filiaal voor de Benelux, gelegen in Nederland.
Rail4chem is opgericht door bedrijven uit de chemische industrie (Duitsland) waaronder BASF, Hoyer, Bertschi en VTG Lehnkering. Sedert begin 2005 hebben ze ook een filiaal voor de Benelux, gelegen in Nederland.
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